NON ! Je ne veux pas que l’on mette dans le crâne de mes enfants de
telles inepties ! Je dénonce cette volonté d’ériger ce relativisme
extrème en une idéologie fixant des règles de comportements
destructurantes voulues par une minorité féministo-égalitariste. Leur
but caché : tentative de déstruction de ce qui caractérise le masculin,
casser ses repères. Je ne doute pas une seconde que la féministe
américaine Judith Butler qui a pondu ce torchon de conneries est de la
mouvance « féminisme lesbien radical ». Elles ont la haine des hommes et
de la structure familiale traditionnelle, vous savez quand il y a un
père à la maison qui représente la loi. Elles veulent détruire ça.
Leur misandrie est avéré (les sommets sont atteints avec une dénommée
Solanas. Il n’y a pas pire et répugnant !). Ce féminisme propage des
idées effrayantes et est relayé par les ministères maintenant. Une
idéologie que l’État promeut. La question qui doit être posée :
Pourquoi, à quelle fin ? Nous sommes arrivés à l’aire où des évidences,
comme celles des différences sexuelles et de leurs conséquences :
physiologiques, psychologiques, comportementales, structurantes... sont
niées. Parce que pour ces crétins (et surtout crétines) la différence
c’est déjà potentiellement établir une hiérarchie. Vous savez où le
masculin l’emporterait sur le féminin comme en grammaire. Voilà la
raison de toutes ces élucubrations. Comme je l’ai relevé ici par un
intervenant : « Les arbres en bougeant font du vent. » Je trouve que cela
résume assez bien l’idiotie de tout ça. Autant cette remarque prête à
sourire autant la « théorie de genre » est une horreur qu’il faut
dénoncer. Pour ceux que ça intéresse, renseignez-vous sur l’école
Égalia (en saisissant le nom sur internet). Une pépite du genre (jeu de
mot assumé). Cela se passe en Suède. Un cauchemar de la bien pensance
et du féministement correct ! Juste un exemple : on interdit aux
garçons de pisser debout. Cela serait déjà une marque de domination.
Alors ils doivent se déculotter et s’asseoir sur les chiottes comme les
filles. Pauvres mômes ! (école entièrement tenue par des femmes,
précision importante).
Souvenez-vous de la sentence mille fois répétée sur tous les médias :
la femme est l’avenir de... à peu près tous. On ne nous précise jamais
que cet avenir pourrait être un cauchemar.