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Commentaire de le poulpe entartré

sur Coke en stock (XLVII) : les intrigues françaises


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le poulpe entartré 7 octobre 2011 21:36

Bonsoir Morice,

Pour le nono, on peut dire sans grande chance de se tromper, que c’est plié depuis l’âge où il recevait des coups de règle en bois sur les doigts par les curés du cathé. Ce n’est pas une obsession, il a été formaté comme ça. Il utilise la fin tragique de deux ressortissants français pour parasiter l’évènement. Pour faire le coucou, de service, il ouvre son parapluie en se faisant passer pour un proche, voir un parent . Sous entendu : « je suis dans le deuil, la douleur alors soyez chrétien ne me tournez pas en ridicule en démontant mon mécano compassionnel de bazar » ; ce ne serait pas « charitable ». Du baratin mielleux de curé en quête d’âme à convertir (ça fait des points en plus pour le paradis. Dans un second temps, pour conforter son imposture, il retourne le dit parapluie pour récolter les fruits de son prêche véhément. Pensant, avoir convaincu suffisamment, il avance sournoisement ses pions pour balancer le fond de son idée qui est autre, de décrire le monde entre les bons (les chrétiens) et les autres ( hérétiques, musulmans, etc, bla, bla, bla). Autrement dit, la compassion que l’on peut avoir pour les deux victimes ; il en veut une bonne tranche parce que ça l’aide à faire avancer son schmilblick. Ca lui permet de mieux se victimiser en vous reprochant de ne pas respecter les deux jeunes décédés. En fait, il vous reproche de ne pas accorder de crédit aux craks qu’il raconte et d’avoir une vue sans affect particulier, des évènements et du déroulement de ceux-ci. Plus brièvement, il vous somme de vous taire parce que vous devriez le faire devant SA douleur (d’où les tentative d’appropriation successives de la commisération des internautes). Une analyse de la situation et des faits lui est impossible, il s’est auto-endoctriné. Il y a rien à faire. Il ira comme ça, jusque dans le trou.
Effectivement dans ce cas là, il vaut mieux laisser pisser. Il est incapable d’envisager qu’une libération d’otage n’est pas compatible avec les modes opératoires des troupes d’intervention. Celles-ci ont littéralement aspergé comme des rats, le campement en tirs de tous calibres dont certains avec une précision toute approximative (plate forme mobile). L’usage d’armes parfaitement mesurées pourquoi faire puisque le but était entre autre, de faire comprendre qu’il ne serait pas fait de quartier. Résultat : tout à coté de la plaque.

Sauf pour les enchristés qui ont besoin des malheurs de l’humanité pour prospérer. Comme la mémère Thérésa qui s’intéressait aux pauvres pour les convertir avant qu’ils ne passent l’arme à gauche. A vomir.


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