Luc Chatel n’a pas précisé où allait sa préférence, ...
La vérité, c’est que Luc Chatel ne sait plus à quel saint se vouer ...
Il n’est peut-être pas du tout question de revenir à une morale de la III° république (un bêtisier en plusieurs tomes), ou à celle des années 60. Certes l’on pourra toujours y glaner quelques préceptes, maximes ... puis en rire, car la vertu a une vertu elle est comique ... quand on l’exalte.
Le carnet de route du ministre, la laïcité positive ? si chère à la morale de notre Président actuel. Peut-être pas très surprenant alors qu’il n’y ait pas de programme précis !
Que dit-il en 2007 à Rome ... (ce n’est pas lui qui écrit les discours, on le sait, mais que cherchait-on à faire passer dans ce discours ... )
« Et je veux dire également que, s’il existe incontestablement une morale humaine indépendante de la morale religieuse, la République a intérêt à ce qu’il existe aussi une réflexion morale inspirée de convictions religieuses. D’abord parce que la morale laïque risque toujours de s’épuiser quand elle n’est pas adossée à une espérance qui comble l’aspiration à l’infini. Ensuite et surtout parce qu’une morale dépourvue de liens avec la transcendance est davantage exposée aux contingences historiques et finalement à la facilité. »
...
« Dans la transmission des valeurs et dans l’apprentissage de la différence entre le Bien et le Mal, l’instituteur ne pourra jamais remplacer le curé ou le pasteur, même s’il est important qu’il s’en approche, parce qu’il lui manquera toujours la radicalité du sacrifice de sa vie et le charisme d’un engagement porté par l’espérance. »