Le modèle clef-serrure, paradigme historique de la biologie, avait déjà été remis en question par Jacques Benveniste, qui s’interrogeait : « comment, les quelques microgrammes d’une hormone, considérée analogue à une clé, qui seraient secrétés dans un corps, pourraient-ils se répartir et tomber pile dans les récepteurs, considérés analogues à une serrure, ceci sans coup férir, parmi les milliards de cellule de ce corps, tout ceci en quelques microsecondes ?
Le modèle clef-serrure semble donc difficile à défendre.
En fait la vie est plutôt »électrique« .
Maintenant, le modèle quantique est également erroné. Les physiciens persistent à vouloir désigner les rayons cathodiques par le terme »électrons« . Or, les rayons cathodiques sont une sorte de fluide. La quantique hésite à les représenter en tant que onde ou corpuscule.
Mais les rayons cathodiques ne sont ni ondes, ni corpuscules, mais fluides.
Tout fluide, on le sait, peut transporter une certaine quantité de mouvement et être le siège de mouvements ondulatoires. Prenez l’eau : pour la quantité de mouvement qu’elle transporte, pensez au karcher, ou à la découpe jet d’eau ; Pour l’ondulation, pensez aux vagues.
Madelung n’a-t-il pas livré une version »hydrodynamique" de la MQ ? (équations de Madelung).
La matière nucléaire n’est-elle pas conçue de manière analogue à une sorte de colle ?
Gaston Casanova n’a-t-il pas démontré que la conception d’un corpuscule ponctuel n’était pas propre à obéir aux équations de Dirac ?
Le modèle corpusculaire a été plaqué sur la réalité microscopique, parce que la mécanique des petites billes dures avait déjà mis au point nombre d’outils de calculs, lesquels ont pu être rapidement recyclés pour avancer rapidement. Mais comme ce modèle n’est pas analogue à la réalité microscopique, les paradoxes se sont accumulés.
Mais, en vérité, les physiciens n’observent jamais de particules, mais des rayons, les rayons cathodiques (ou béta), les rayons protoniques, les rayons alpha, les rayons gamma... Ces rayons sont des sortes de fluides, aux propriétés particulières, plus proche du plasma qu’autre chose.
En fait, dans la nature, les substances sont entourées d’une gangue de fluide aux propriétés particulières, fruits de l’interaction avec l’environnement (Modèle de la double couche). J’imagine que ces propriétés sont à chercher parmi celles caractéristiques du plasma (température électronique, longueur de debye, etc...). C’est ce fluide qui émane de la substance qui est capté par l’odorat. Cette captation se fait naturellement par captation du fluide électrique.