D’autre citations du même, pour vous éviter de faire des contre-sens, par ignorance :
« Le communisme est synonyme de nihilisme, d’indivision, d’immobilité, de nuit, de silence »
« Voilà donc tout mon système : liberté de conscience, liberté de la presse, liberté du travail, liberté de l’enseignement, libre concurrence, libre disposition des fruits de son travail, liberté à l’infini, liberté absolue, liberté partout est toujours ! C’est le système de 1789 et 1793 ; le système de Quesnay, de Turgot, de Jean-Baptiste Say (...) La liberté, donc, rien de plus, rien de moins. Le « laisser-faire, laissez-passer » dans l’acception la plus littérale et la plus large ; conséquemment, la propriété, en tant qu’elle découle légitimement de cette liberté : voilà mon principe. Pas d’autre solidarité entre les citoyens que celle des accidents de force majeure (...) C’est la foi de Franklin, Washington, Lafayette, de Mirabeau, de Casimir Périer, d’Odilon Barrot, de Thiers... »
Une dernière, pour la route :
« La taxe n’est pas répartie en raison de la force, de la taille, ni du talent : elle ne peut l’être davantage en raison de la propriété.
Si donc l’état me prend plus, qu’il me rende plus, ou qu’il cesse de me
parler d’égalité des droits ; car autrement la société n’est plus
instituée pour défendre la propriété, mais pour en organiser la
destruction. L’état, par l’impôt
proportionnel, se fait chef de bande ; c’est lui qui donne l’exemple du
pillage en coupes réglées ; c’est lui qu’il faut traîner sur le banc
des cours d’assises, en tête de ces hideux brigands, de cette canaille
exécrée qu’il fait assassiner par jalousie de métier. »
C’est par l’évolution de sa pensée, qu’il montre son intelligence. Sans s’arrêter à la première impression. Sans paresse intellectuelle, comme beaucoup.
Il suit, en cela, les enseignements de Frédéric Bastiat, qui invitait à juger les choses a travers ce qu’on voit, mais aussi à travers ce qu’on ne voit pas. Mais pour cela, il faut faire un effort de réflexion.