Bonjour @Yvance77,
En les traitant de « crétins », vous faites un grave erreur, vous les sous-estimez.
Ils sont extrêmement dangereux car très intelligents, manipulateurs, discrets mais aussi possédant une influence, un pouvoir que nous avons du mal à imaginer, notamment Herman Von Rompuy qui est défini comme falot, fade, sans charisme, etc...
Dans la réalité, c’est un personnage cynique qui représente les intérêts des Bilderbergers, de la Trilatérale, des « marchés financiers spéculatifs » :
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-plan-secret-du-President-du-Conseil-Herman-van-Rompuy-2564.html
http://www.mecanopolis.org/?tag=rompuy
Mais Van Rompuy, c’est aussi çà Wiki) :
Afin de résoudre le problème du fondement juridique, le gouvernement allemand indiqua qu’un amendement au traité serait nécessaire. Cependant, après la ratification difficile du traité de Lisbonne, certains États et hommes d’État se sont opposés à une modification du traité, notamment le gouvernement britannique qui s’opposait à des changements affectant le Royaume-Uni[1],[2]. C’est finalement avec le soutien du président français que l’Allemagne obtint l’aval du Conseil européen d’octobre 2010[3].
La proposition allemande demandait une modification minimale visant à
renforcer les sanctions et à créer un mécanisme permanent de sauvetage.
Cette modification minimale ne répondant toutefois pas à l’exigence
allemande de sanctionner les manquements des États par la suspension du
droit de vote. En effet, une telle exigence nécessiterait une
modification plus importante du traité.
Le 16 décembre 2010, le Conseil européen trouva un accord pour un
amendement de deux lignes au traité, ce qui permet d’éviter la tenue de
référendums. En effet, le Président du Conseil européen Herman Van Rompuy a prévu d’examiner les changements à travers la procédure de révision simplifiée (article 48 TFUE)[4]. La modification change simplement le traité sur le fonctionnement de l’Union européenne pour permettre l’instauration d’un mécanisme permanent[5].
Le 11 mars 2011, lors du sommet européen de la zone euro, les
représentants des États ont trouvé un accord pour signer traité séparé[6] visant à doter ce mécanisme d’une capacité d’intervention de 500 milliards d’euro[7].
Pour combattre ses ennemis, il faut apprendre à les connaître et utiliser leur force pour les dominer