Wesson se fourre le doigt dans l’oeil. DSK n’est pas politiquement, ni professionnellement mort.

Il suffit de regarder le cas de Bernard Tapie qui continue de grenouiller en France et à Madagascar. Dans cette ile, il est parti répandre ses solutions à la godille et sa mentalité de profiteur bouffant à tous les rateliers. Cet ex ministre socialiste (la aussi) qui n’a pas hésité à truqué des match, se goinfrer avec la complicité de C. Lagarde (ministre des finances qui n’a rien fait sur le plan économique) sur le dos des francais. L’ex-taulard est retord et ne surnage qu’au chèques de Ginette.

Imothep rappelle avec raison les turpitudes de l’obsédé du FMI, tant qu’il n’est pas mis définitivement hors d’état de nuire : il faut continuer. Ce que Tristane Banon, Nafissatou Diallo et d’autres ont subi ne doit pas rester impuni. Avec la complicité car il s’agit bien de complicité par passivité et nonchalance, des amis socialistes et journaleux à leurs bottes, il tentera dans quelques temps de faire son come-back, en précisant bien sur, que maintenant il a changé mais bien sur. Eh bien, il ne faudra pas oublier ses actes et ses mensonges : cela rien à faire un devoir de mémoire ! Ha ha ha, dans ce cas là surtout.

Wesson préfère que la justice règle ses comptes avec cet homme. On a vu le résultat avec Tristane Banon. L’agression sexuelle a été reconnu avec pour conséquence pour DSK : rien.
Les faits sont prescrits. Autrement dit, il préfère la solution des enterrements de première classe pour « l’homme à terre ». C’est clair pour lui, DSK est une victime. Pourquoi pas victime d’une Shoa par fellation comme dirait l’autre ? Qu’il ne s’inquiète pas avec les chèques de Ginette, il est déjà parti se faire oublier pour un temps en Israel. Si ça ne suffit pas, il s’exilera dans son riad au Maroc avec l’air peiné (et non la pine à l’air) : il fera son purgatoire, loin de sa patrie à laquelle il ne pense pas chaque matin en se levant. De temps à autre, il fera parvenir à ses « nombreux amis » restés en France, une lettre recueillant ses impressions, ses craintes et ses très bonnes idées pour sortir le pays de la crise. Le scénario est classique et connu. D’autant plus que ses relais dans les journaux et télévision (merci Ginette) sont nombreux et des obligés.

Non merci, de cette daube on ne veut plus, BASTA ! Il est à l’étranger ? Qu’il y reste.