Bonsoir à tous,
Merci @ Michel de cette bonne synthèse sur ce « hold-up » des institutions et j’attends de vous un article sur le « recyclage » des élus ayant perdu leur mandat, dans certaines institutions comme le Conseil Economique et Social et tutti quanti. Il y a du grain à moudre.
Dans leur grande majorité, les citoyens ne croient plus aux
« politiques », à la « cuisine », aux programmes « soupes » électoralistes
mais continuent à voter pour le moins pire.
Une mesure de salubrité publique et citoyenne : interdire les partis
politiques, leur idéologie et appeler à un Comité de Salut Public.
Quelques pistes :
Constitution :
une nouvelle Constitution issue d’une Assemblée Constituante et d’un référendum
Pour les grandes décisions économiques, sociales, financières, juridiques, vote référendaire,
le parlement n’ayant qu’un rôle technique de conseil et de mise oeuvre des décisions.
Mise en pratique des référendums régionaux et locaux
Elections :
Casier judiciaire vierge
Publication de l’ensemble des revenus élargie, du patrimoine et % détention de capital d’entreprises, SCI
Absence de conflit d’intérêt
Un
mandat unique non renouvelable et sans cumul Proportionnelle
intégrale Référendum à mi-mandat de l’action du Président de la
République et de son gouvernement
Finances Publiques :
Renégocier les Traités Européens pour
« casser la dictature des marchés » et la création d’une Banque centrale
citoyenne avec la capacité de créer la monnaie et dirigée par des
organisations syndicales, de consommateurs, des collectifs. Les
« experts » financiers n’auront qu’un rôle de conseil technique.
Contrôle des mouvements de capitaux (spéculation)
Renégocier
la dette publique par un audit sur la dette « indûe » ou l’effacer,
purement et simplement en accord, si possible, avec les autres états
européens.
Réformer la fiscalité, notamment l’IR, CSG, CRDS (cf Thomas Piketty Pour une révolution fiscale)
Justice :
Indépendance des Procureurs de l’exécutif
Renforcement du rôle des Juges d’Instruction
Réformer
les différents codes, notamment sur les infractions
politico-économiques et financières qualifiées de crime relevant de la
Cour d’Assises.
Suppression des juridictions d’exception comme la Cour de Justice de la République.
Responsabilité pénale du Président de la République, de son gouvernement, des conseillers pendant la mandature
Modifier les critères de l’immunité parlementaire, des élus sinon la supprimer
Création d’une Université de la République donnant une formation pour
exercer les mandats, à tous les citoyens de toute origine et condition
Et il reste bien d’autres champs à explorer