Robespierre était le personnage principal du Comité de Salut public pendant la Terreur, avec Saint-Just, Carnot, Barrère, donnant les ordres au Tribunal révolutionnaire de Fouquier-Tinville ainsi qu’aux armées qui ravageaient villes et campagnes, pillaient et brûlaient les maison, massacrants femmes, enfants, et vieillards.
Il était l’ordonnateur des dizaines d’arrestation et de condamnation à mort sans procès pour des motifs comme le « modérantisme ».
Il était aussi un des ordonnateurs du Siège de Lyon et du massacre de 200 000 civils vendéens, avec les colonnes infernales de Turreau.
Lisez le livre que vient de publier Reynald Secher aux éditions du Cerf, « Vendée, du génocide au mémoricide », avec de très intéressantes préfaces de Gilles-William Goldnadel et de Stéphane Courtois.
Les ordres de tuer toute la population ont été retrouvés aux Archives de la guerre, ils émanent de Robespierre et de Carnot, ce qui confirme les travaux historiques de l’universitaire Pierre Chaunu.
À part ça, les discours de Robespierre étaient souvent très beaux et pleins de bons sentiments et d’idéaux. Les discours d’Adolphe H*** et de Lénine aussi.