bonjour a tous
je vous avait écrit une réponse circonstancier, je l’ai perdu deux fois je ne la refait pas.
depuis longtemps prés de 20ans nous savions que les hommes distordraient le système car il leur échapperai.
je rappelle : avec la monétarisation le risque existe que ces méthodes soient confisquées par des
experts, au nom de leur complexité (réelle), et que, dans ces
conditions, les enjeux deviennent opaques pour la plupart des acteurs,
dépossédés des moyens de jugement, incapables de faire valoir leurs
préférences sur une base informée.
Amartya
Sen : l’État a un rôle important à jouer pour promouvoir la
liberté individuelle.
Amartya
Sen a reçu le prix Nobel d’économie en 1998. Il rejette
radicalement les conclusions de la nouvelle économie publique. En
effet, il affirme : « finalement, on ne peut trancher les
dilemmes sociaux qu’à travers des processus de choix public fondés
sur la participation, le dialogue et les débats ouverts (…) Le
pilotage unilatéral, y compris s’il est le fait du meilleur des
experts, ne saurait en soi constituer une solution ».
Aussi, même
si les médias s’entêtent à présenter l’idéologie libérale
comme dominante, les foules prêtent plus volontiers l’oreille à
ceux qui crient à l’horreur économique et nous désignent des
coupables plausibles : multinationales, marchés
financiers, progrès technique, spéculateurs, patrons… Mais cette
« contre pensée unique » antimondiale, antieuropéenne,
antiéconomique, abrutit plus le citoyen qu’elle ne l’éclaire,
parce qu’elle se trompe de cible. En effet, une société horrible
nous guette peut-être, mais l’horreur n’a rien d’économique,
elle est politique. Elle résulte avant tout, des stratégies de
pouvoir des gouvernements.
aujourd’hui nous a donné raison.
je vous laisse un lien sur mon dernier article ou j’essaie d’expliquer brièvement que nous ne sommes pas dans une crise.
http://www.agoravox.fr/ecrire/?exec=articles&id_article=106428.ddacoudre.over-blog.com
merci a tous de vos commentaires cordialement.