@JL1
En effet, c’est yoananda qui vous
citait. Ce n’était pas une citation directe de vous. Le contexte
était peut-être différent. Néanmoins votre phrase, que ce cite
ci-dessous, est encore plus significative de la validité de ma
critique contre votre analyse économique.
La prochaine fois, je citerais mon
interlocuteur avec ses mots exacts. Le manque d’arborescence rend
confus le débat. Vous signalez très justement cette difficulté de
repérer les commentaires sur l’article et les réaction au
commentaires.
Vous dites ci-dessus "le
commerce mène à la concurrence, et la concurrence ’libre et non
faussée’ est un principe illusoire mais qui mène à la guerre de
tous contre tous". Votre
phrase contient plusieurs erreurs que je veux rectifier. Le commerce
enrichit le vendeur et enrichit l’acheteur. C’est un moteur de
création de richesse. La concurrence est la possibilité de chacun
de produire, de vendre et d’acheter. Toute interdiction de la
concurrence est l’interdiction d’un échange producteur de richesse.
Toute atteinte à la concurrence détruit donc des richesses en
interdisant leur production.
La concurrence "libre et non
faussée" est un concept que j’ignore. La concurrence existe si
aucune interdiction légale n’existe. La concurrence, c’est le
commerce. Le commerce, c’est proposer, sans jamais contraindre son
client. Le commerce est donc le contraire de la guerre. Le commerce
crée de la richesse sans jamais détruire celle des autres. La
guerre est vol, prédation, destruction. Confondre le commerce et la
guerre est une erreur d’analyse grave qui disqualifie, d’avance, tous
vos propos économiques.