Cette restriction de liberté attaquant le web était prévisible. Depuis la dernière guerre mondiale la corruption intellectuelle du fascisme s’est insinuée peu à peu dans la mentalité des dirigeants occidentaux. La chasse aux sorcières des communistes aux Etats unis n’était autre que du fascisme déguisé en guerre froide avec la Russie communiste.
 Les pouvoirs ont horreur des espaces de liberté. La niche du web est une aiguille plantée dans le web de la démocratie, qui n’est démocratie que de nom.
L’exemple du printemps arabe a dû faire froid dans le dos de la plupart des dirigeants et lobbies mondiaux, imaginant ce qui se passerait si dans nos sociétés policées soumises au lavage de cerveau consumériste, certains commenceraient grâce à internet à secouer leur chaînes invisibles.
Tous les pouvoirs sont maintenant devenus des dictatures portant le noble vêtement toué de la démocratie et s’imaginant que les foules abruties par les nombreuses manipulations du pouvoir vont continuer à bêler à l’unisson en tremblant sous la menace d’une dépression économique qui ne touche que les classes moyennes et les pauvres.
C’est pour cette raison que maintenant ils s’attaquent au dernier bastion de liberté qui nous reste, prenant exemple en cela sur la nouvelle puissance mondiale, la Chine.
Ça fonctionne en chine, se disent-ils, alors pourquoi pas chez nous ? Après cette liberté supprimée, l’étau se resserrera encore plus. On ne pourra plus manifester, on devra se comporter, parler et penser comme le pouvoir l’a décidé, il faudra en toutes circonstances être politiquement correct. On nous jettera comme à des chiens quelques illusions de liberté en organisant des protestations bien encadrées et orchestrées par le pouvoir.
En vérité les Nazis ont gagné la guerre et nous n’avons rien vu !