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Commentaire de le poulpe entartré

sur Le jour où Sarkozy a rencontré le peuple


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le poulpe entartré 3 mars 2012 15:23

Spartacus, citoyen d’eurodisney, qui découvre le pays où il habite, la France. Spartacus qui déjà atteint des terribles dégats qui résultent de la maladie d’Alzeihmer, ne se souvient plus que ce pays a une histoire. Que quand bien même, les pages sombres sont bien plus nombreuses, il y a souvent eu des Français pas nombreux il est vrai, qui se sont levés, parfois soulevés, pour mettre un terme à l’ignoble, l’abject, la trahison, la décomposition, la dégénérescence et l’intelligence avec l’ennemi. Ils ont sauvé l’honneur en leurs temps. Les cadets de Saumur qui se sont courageusement battus face aux troupes allemandes, bien que sachant qu’il n’y avait pas de réserves, qu’ils étaient seuls. Le groupe manouchian admirables résistants, mort pour la France.

Plus difficile à cerner, l’ennemi actuel n’est pas la finance mondiale mais quelques établissements financiers supra-nationaux qui sont en train de mettre à sac, la Grèce, l’Italie, l’Espagne, le Portugal et qui commence à grignoter l’hexagone. Ils place leurs pions à la tête des états (soient -disant en faillite) après avoir truqués leurs comptes, spéculer contre eux (faciles puisqu’ils étaient au coeur des décisions à venir avant qui que ce soit) sans que les peuples aient à se prononcer. C’est ce que certains appellent le finance-fachisme. A la manoeuvre : JP Morgan, entre autres. En France, la même engeance des collabos qui avaient préparés et fait le choix de la défaite en 1940, s’active : « plutôt la défaite que le front populaire ».
Ils ont refait surface et se sont infiltrés là où se situent les leviers de contrôle et de pouvoir. La presse, la radio, la télévision même publique est infectée. Pujadas est emblématique en ce sens que sans avoir la hargne d’un Goebbels, il officie lui aussi à propager la voix de son maitre comme l’autre. 
L’internaute si mal dénommé Spartacus, en est encore au stade des croyances. Baudruche crevée, il se cache derrière un « on a cru » au lieu d’avouer qu’il croyait que, etc. En plein délire onirique, il proclame : « on sait qu’il sont, etc » : autrement dit : rien dans les tripes.
Il est cependant plein de ressources, dont un comique troupier sans pareil. Ne voilà t il pas qu’il s’offusque du droit à l’insulte ? L’exemple présidentiel du fameux « casse toi pov’con » lui va comme un gant et tout le reste est à l’avenant.

 De quoi parle t il au juste : de droit à l’insulte ? Voilà un créatif dans le domaine juridique, il ignore jusqu’à l’existence du code pénal. il s’est probablement rendu compte (ou plutôt, même pas compte) du grotesque de ses propos alors changement de registre. Ce en quoi, il imite son idole de poche par des affirmations successives qui se veulent vérités car prononcées de manières rapprochées et définitives.

 Qu’en est il ? « Empêcher de parler ? Se déplacer ? » Qui envahit les émissions de télévision, de radios, aux heures de grandes écoutes ? Qui s’est déplacé aux frais de la république pour minimiser ses frais de campagne électorales ? Qui par ses groupes de lobbying, interdit d’antennes François Asselineau (par exemple) ? Qui lors de ses déplacements mobilise six cent policiers, gendarmes, deux hélicoptères et interdit des habitants de rentrer chez eux ?
Il l’ignore bien sur et ce n’est pas son soucis mais bien sur.

A l’examen, la ficelle du pseudo-spartacus est encore plus immonde. Selon lui, il serait empêcher de parler et de se déplacer parce ce que d’autres personnes n’auraient pas les mêmes idées que lui. Rien n’est plus faux. Sa maladie s’accentuant à chaque jour qui passe, il a oublié qu’il est candidat à la présidence et qu’il est également le candidat sortant. Et maintenant, c’est l’heure du B I L A N. Un bilan, le pseudo-spartacus sait il seulement ce que cela recouvre ? C’est l’état patrimonial d’un groupement, d’une société, d’un groupe de société, d’une région ou d’un pays. Un PDG se doit de présenter son bilan devant l’AG des actionnaires. Quel B I L A N peut présenter le sortant ? Une situation désastreuse, des décisions désastreuses, des projets désastreux ; autrement dit, avec un commandant pareil, le bateau France continuera à prendre eau de toutes parts. Les services publics en voie de destruction, le système de santé vandalisé, l’éducation torpillée, l’industrie en friche, le nombre des chômeurs et précaires qui dépasse 10% de la population. C’est cela, SON BILAN. C’est cela qui a été hué, cinq années à favoriser ses amis, ses bandes au détriment de l’intérêt général dont il ignore même le concept. Un dirigeant mauvais et qui bidonne, raconte des cracks, l’assemblée générale des français dit stop ! Il doit débarquer, sac à terre et bye bye.

Et le pseudo-spartacus qui ouvre la bouche pour donner sa définition du fachisme alors qu’il entrave rien. Un référendum a eu lieu en France. Les français, le peuple français souverain avait dit merde au traité de Lisbone, malgré le matraquage presse, radio et télévisuel. Qu’à fait l’autre ? Il l’a ratifié comme un voleur entre par la fenêtre, quand même. Ca donne tout de suite le niveau.
Le peuple français est seul souverain, ce qu’il a fait, lui seul peut le défaire, en se prononçant, par référendum. Un président de la république n’est que son mandataire et celui-ci se doit d’obéir, oui vous avez bien lu, d’obéir et se soumettre à ses décisions. 2012 sera l’année de la fin pour ses tricheries.


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