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Accueil du site > Actualités > Politique > Le jour où Sarkozy a rencontré le peuple

Le jour où Sarkozy a rencontré le peuple

La Bronca !

La bronca est une manifestation du mécontentement, elle s’exerce dans les arènes, lorsque les spectateurs sont mécontents, ils crient, sifflent, huent, et summum de leur mépris, ils peuvent aller jusqu’à se taire !

bayonne_2009_juillet_1.jpg

Nicolas Sarkozy avait commencé la semaine pépère, devant les représentants du peuple au sénat, il n’avait trouvé que 3 socialistes pour s’opposer à son traité, copié sous la dictée de Merkel .

 Aupa Marie Noëlle Lienemann, Ongi Etorri Jean pierre Chevènement comme disent les basques !

Regonflé par tant de lâcheté abstentionniste le furieux à talonnette s’enhardit, et contre toute attente, décide d’une ballade digestive dans le petit Bayonne !

Grave erreur, car cet endroit qui pour tout Aquitain est un lieu symbole de la vie douce, et du bien vivre est aussi le cœur historique de la résistance populaire au pays basque !

Grave erreur de pas croire aux devises des villes, celle de Bayonne est : nunquam polluta ( jamais souillée)

Les bayonnais sont attachés à ce quartier, le plus vivant,le plus populaire,une zone franche depuis 1152,ce quartier a une histoire. Sucessivement refuge des corsaires,puis des républicains espagnols, hâvre de paix pour les militants basques poursuivis par les polices franquistes, les remparts de vauban sont aujourd'hui investis par une jeunesse militante, solidaire, joyeuse et festive.

C'est dans ces rues que vous trouverez le local de BIZI ! http://www.bizimugi.eu/?page_id=3

Bizi est une association altermondialiste, qui rejette sans ambigüité la violence et le terrorisme, et ce depuis sa création et qui mène des actions déterminées pour mobiliser à la hauteur des enjeux auxquels l’humanité toute entière est confrontée !tumblr_kt6buwJNjW1qzcc4xo1_500.jpg

C’est à eux que l’on doit aussi cette magnifique mobilisation pour recevoir comme il se doit le président des riches. Si en vous promenant dans ce quartier, vous croisez mon ami Txetxe, un des animateurs de ce mouvement, vous comprendrez de suite combien, à partir d’une action très locale, le pays basque, amoureux de sa langue et de son territoire on peut et on doit s’inscrire dans les perspectives internationales des luttes internationalistes !

C’est donc dans ce contexte, dans ces rues, que Sarkozy a compris ce qu’était une bronca !

La bronca doit répondre à plusieurs éléments

Le manque de courage : Manque de courage qui caractérise Sarkozy le capitulard qui n’obtient rien de ses rendez vous hebdomadaires avec la chancelière allemande, et qui tente par la petite voie de faire acter le traité dont les grands patrons, les banquiers et les retraités allemands ont besoin pour maintenir leur niveau de rente !

BOUHHH ! Fait le peuple mécontent !

 

L’absence d’autorité : Vous allez voir ce que vous allez voir nous disait Sarkozy, lorsqu’il promettait de moraliser la finance, vous allez voir ce que vous allez voir, lorsqu’il nous promettait de faire reculer les délits dans ce pays, vous allez voir ce que vous allez voir, lorsqu’il nous promettait l’union pour la méditerranée…

BOUHHH ! Fait le peuple qui ne croit plus aux mensonges !

 

L’inélégance  : Une constante chez Sarkozy, sur un yacht ou au Fouquet’s, avec le pape ou avec les travailleuses de le Jaby, devant le peuple Lybien ou avec Rachida Dati, l’inélégance est sa marque de fabrique, brutal, violent et vulgaire.

BOUHHH  ! Fait le peuple blessé par une telle attitude de mépris !

 

L’inefficacité : 500 000 emplois industriels perdus en 5 ans, plus d’un million de chômeurs supplémentaires, des salariés appauvris, et une explosion record de la dette, des millions de français qui ne peuvent plus se soigner, s’éduquer, et d’autres qui ne peuvent plus vieillir…

BOUHHH ! Fait le peuple obligé de constater la déconfiture des sornettes libérales et autres boucliers fiscaux qui n’ont fait qu’aggraver les inégalités déjà grandes de ce pays.

 

casse-toi-pov-con-copie-1.jpg

Pleutre, incroyable menteur, gougeât indécrottable, et gouvernant incapable ! Te voilà donc face au peuple, au vrai, pas celui des figurants de l’improbable association « France active », et ce peuple du pays basque, rassemblé autour de sa jeunesse et de son histoire a bien eu raison de fendre le silence final de la méritée Bronca par un magnifique cri qui fusa au dessus des casques luisants de CRS appelés à la rescousse :

 

"Ken hortik alu kaskarra" ?

 


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25 réactions à cet article    


  • velosolex velosolex 2 mars 2012 16:08

    Louis onze avait l’habitude de se déguiser pour prendre incognito la température de Paris, idée qu’il avait peut-être piquée dans les mille et une nuits, ou le sultan Haroun El Rachid cultivait la même pratique dans la ville de Bagdah.

    Sarko aurait peut être été avisé de faire la même chose, au lieu de prendre avis de ces conseillers, ça lui aurait évité de se planter.

    Bon, il n’a plus qu’à imiter Louis seize, et de filer avec toute sa maisonnée à bride crosse, avant que ça ne se gâte, et qu’un mandat soit lancé contre lui !

    Le mieux est d’éviter Varennes, où il pourrait être reconnu :

    « Malgré sa casquette et son allure populo, je l’ai reconnu à la rollex, dont il n’avait pas réussi à se débarrasser ! » Dira plus tard l’aubergiste.


    • Txotxock Txotxock 2 mars 2012 16:46

      Allons, Discrétion et Sarkozy, est ce que ça peut aller ensemble ?


    • frugeky 2 mars 2012 16:24

      « Ken hortik alu kaskarra » ?


      Euh, là ...je cale.
      Une petite traduc ?
      Même aproximative ?

      • Alain Bousquet Alain Bousquet 2 mars 2012 16:48

        « Ken hortik alu kaskarra » ?

        casse toi pauvre con !


      • frugeky 2 mars 2012 17:46

        Merci.

        ça semble bien sonner en bouche...

      • Daniel D. Daniel D. 2 mars 2012 16:30

        Ça serais intéressant que cela fasse des émules cette hué a son arrivé.

        Imaginez le a se faire huer, a chaque déplacement, chaque sortie en public, rien que d’y penser j’en frissone de plaisir.

        BOUH BOUH !
        HA HA HA HA !

        Cela ne ferais pas avancer les choses, mais ça détendrais, et c’est déjà pas mal :)

        Daniel D.


        • bakerstreet bakerstreet 2 mars 2012 17:15

          Faudrait surement pas prendre Bayonne pour un jambon !

          Après Audierne, et quelques autres fiefs où il a pu essuyer quelques sifflets, qui ne sont pas forcément de supporters
          Sarko va pouvoir tracer les contours d’un tour de France
          Qu’il pourrait être dangereux de faire en vélo
          A moins qu’il ne consiste en une seule étape de contre la montre, tout seul, dans les rues de Neuilly, avec des cars des supporters venus des quatre coins de France.

          Le rêve en jaune !

          Bon dieu, quelle belle affiche ça ferait !


          • Spip Spip 2 mars 2012 17:26

            Désolé, mais il faut arrêter de reprendre tel quel l’ erreur du journal Sud-Ouest : il n’est pas allé dans le Petit Bayonne ! Pour autant que je sache, la rue d’Espagne et la cathédrale sont dans le Bayonne ancien, faut pas confondre.

            Aller dans le Petit aurait été encore pire... La dernière : le Maire, le Dr Grenet lui a présenté des excuses au nom de la ville ! Je vous laisse aller voir les réactions des bayonnais sur le sujet :

            http://www.sudouest.fr/2012/03/01/chahute-a-bayonne-sarkozy-denonce-les-voyous-et-met-en-cause-le-ps-647548-3.php


            •  C BARRATIER C BARRATIER 2 mars 2012 17:32

              Sarko et sa clique considèrent que tous ceux qui se mêlent de la destinée de la France et qui ne sont pas dans leurs rangs sont des « usurpateurs » Il l’ont dit
              Quand ils s’affichent, on doit OBLIGATOIREMENT APPLAUDIR. Incroyable mais vrai.
              Cette bronca a été une gifle méritée, mais ils sont incapables de le comprendre. Voir dans la table des news :

              « Sarkozy, son UMP, contre la liberté d’expression »

              http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=76

               


              • focalix focalix 2 mars 2012 18:43

                Il devrait lire les sondage Sarkozy.
                Avec des scores aussi calamiteux, il ne devrait pas se risquer à des bains de foule (sinon en apportant sa foule à lui).
                Pour ce genre d’exercice, il n’a pas les épaules.
                Contrairement à François Hollande qui a su rester cool après son enfarinage, Sarko a pété les plombs.
                Quand je pense que c’est lui le préposé au petit bouton qui nous fera joyeusement sauter la gueule à tous, je suis un peu inquiet...


                • xray 2 mars 2012 19:54


                  SARKOZY sert le capital de la Dette publique. 
                  Il est l’instrument de l’axe CIA-VATICAN. 
                  Il n’a pas de compte à rendre aux Français. 

                  Sarkozy sera réélu. Les US ont besoin de lui pour porter la guerre en Syrie et en Iran. 

                  Le Grand Guignol politique (L’Europe des curés) 
                  http://n-importelequelqu-onenfinisse.hautetfort.com/ 

                  Le capital de la Dette publique 


                  • hacheii 3 mars 2012 10:14

                    C’est incroyable ça, que reprochez-vous a Sarkozy ?
                    .
                    D’avoir pris une noire et deux femme arabes dans son gouvernement ? d’avoir nommé un pédophlile des socialistes comme ministre ? D’avoir augmenter la pression migratoire ? D’avoir bradé la nationalité Française ?
                    .
                    En un mot ce que vous reprochez à Sarkozy c’est d’avoir mené une politique de gauche  ?!


                    • sisyphe sisyphe 3 mars 2012 13:17

                      Tu m’as tout l’air de t’y connaître en « politique de gauche » ...
                       smiley


                    • l'Omnivore Sobriquet l’Omnivore Sobriquet 3 mars 2012 10:44

                      Le Peuple ?
                      Sarkozy a rencontré « le peuple » , avant-hier à Bayonne ?

                      Une chasse gardée mélenchono-hollandière, une manifestation privée, avec la milice violente qui filtre les entrées.

                      Expulsions musclées de quiconque n’est pas inféodé aux « réseaux », voilà comment « la gauche » entretient l’illusion de représenter le peuple. Concept éculé, phase finale.
                      Le peuple est patriote, l’ennemi est dans les tuyaux.


                      • spartacus spartacus 3 mars 2012 11:49

                        Apologie de l’atteinte à la libre circulation des personnes.


                        Justifier le droit a l’insulte, empêcher de parler et se déplacer le parce qu’on a pas les mêmes idées s’appelle du fachisme.
                        Le Pen n’a pas pu non plus parler à la Sorbonne.

                        Pendant longtemps on a cru que les fascistes avaient élu domicile à droite. Maintenant avec cette campagne on sait qu’ils sont à gauche.



                        • sisyphe sisyphe 3 mars 2012 13:21

                          Par spartacus (xxx.xxx.xxx.157) 3 mars 11:49

                          Apologie de l’atteinte à la libre circulation des personnes.

                          Ah bon !?

                          Il a été empêché de circuler ? 

                          Pour une fois qu’il se déplace sans des milliers de crs qui bloquent la ville, empêchant la libre circulation des personnes, personne ne l’a empêché de circuler ; on lui a tout simplement fait connaître son rejet, par des démonstrations PACIFIQUES de ras-le-bol.

                          Faudrait peut-être aussi interdire les manifestations, en France ?

                          Spartacus, change de pseudo ; tu dénatures un résistant, avec tes postures de collabo...


                        • spartacus spartacus 3 mars 2012 14:51

                          Petit texte de Benoit Rayski source livre « l’homme qu’il fait bon Hair »

                          Il y a de cela quelques mois François Hollande avait eu cette formule : « L’anti-sarkozysme n’est pas un programme ». Une réflexion à laquelle on souscrira volontiers. Mais qui, en même temps, souligne la réalité d’un phénomène très singulier : la haine dont fait l’objet Nicolas Sarkozy. Jamais, en effet, sous la Cinquième République, un chef de l’Etat n’a été autant détesté que l’actuel locataire de l’Elysée.

                          Il a sans doute tous les défauts du monde et sa politique aussi. Déjà il est de droite. Mais Jacques Chirac l’était aussi. Tout comme, mais d’une toute autre façon (culturelle et intellectuelle), l’était François Mitterrand, le président de la République de La Force Tranquille, posant devant une église, ce qui, pour le moins, ne fait pas vraiment partie du panthéon de la gauche. En outre Sarkozy a multiplié les initiatives symboliques qui ont semé le trouble dans son propre camp. Suppression de la double peine, célébration de Guy Môquet, jeune héros communiste, invocation des mânes de Jean Jaurès. Si on veut, en cela et pour cela, Sarkozy peut être critiqué et combattu politiquement.

                          Mais la haine ? La haine qui souille définitivement ceux qui la professent ? Le TSS (Tout Sauf Sarkozy) ? Les racines sont à chercher ailleurs. Nicolas Sarkozy est un personnage atypique, presque incongru dans le paysage hexagonal. Un extraverti qui, manifestement, n’a pas cherché à se couler dans le moule du charme discret de la bourgeoisie française. Il a des copains riches (Chirac, Mitterrand, Giscard d’Estaing n’en avaient-ils pas ?) et il s’affiche – l’inconscient !- avec eux au Fouquet’s. Il souhaite des vacances confortables et s’installe sans aucun complexe sur le yacht de Bolloré. (Chirac, lui, partait très loin des regards aux Seychelles, dans un hôtel pour milliardaires, et Mitterrand allait du côté du Caire, dans une résidence qui n’était pas faite pour les pauvres). Il ne déteste pas les Rolex et en porte une au poignet. Ses femmes font jaser et posent pour les magazines. Trois femmes seulement : Marie-Dominique, Cécilia puis Carla. Mais on en parle comme si elles étaient des centaines... Ah ! Ce n’est pas à Chirac, le bon gars bien de chez nous, que ce serait arrivé ! Quand il présidait aux destinées du RPR, on le surnommait rue de Lille : « 3 minutes, douches comprises ». Mais les étreintes se déroulaient discrètement, à la chaîne, dans son bureau.

                          De surcroît, Sarkozy ne fait même pas peur. On l’affuble de toutes les références possibles aux « heures les plus sombres de notre Histoire ». Fasciste, liberticide, dictateur, fils de Pétain. Et pourtant on l’insulte sans crainte. « Me touche pas, tu vas me salir ! » lui lance un olibrius au Salon de l’Agriculture (on a retenu de cet épisode seulement la réponse de l’intéressé : « Casse-toi pauv’ con ! »). « Enculé ! » lui crie un marin pêcheur quelque part du côté de Saint-Nazaire. Et lors d’une autre visite présidentielle Sarkozy prend ce qu’il est convenu d’appeler un bain de foule. Alors un individu, dont le geste passera sûrement à la postérité, s’essuie ostensiblement la main qui a serré celle du chef de l’Etat. Et qu’est-il arrivé à ces intrépides résistants ? Quelles tortures leur a infligées la gestapo sarkozyste ? Dans quelles geôles secrètes croupissent leurs corps meurtris ? C’est ainsi. Nicolas Sarkozy ne fait pas, vraiment pas, Président. En Hongrie peut-être... Mais chez nous il reste pour toujours un métèque de la politique.

                          Une histoire pour conclure. Elle dit tout sur la malédiction qui poursuit Sarkozy. Un jour l’ambassadeur d’Israël est reçu à l’Elysée. Sarkozy a l’air triste. « Que vous arrive-t-il Monsieur le Président ? ». « Tout va mal. Les sondages sont mauvais. Il faudrait un miracle pour que je sois réélu ». « Mais vous pouvez faire un miracle Monsieur le Président. Venez chez nous sur les bords du Lac Tibériade ». « Comment ça ? » demande Sarkozy interloqué. « Eh bien, il y a plus de deux mille ans, un des nôtres a réussi : il a marché sur l’eau ». Le Président demande à réfléchir.

                          Puis ayant consulté ses proches, et la situation paraissant vraiment désespérée, il se décide. Accompagné de son entourage et de tout ce que la France compte de journalistes, il se rend sur les bords du Lac Tibériade. Et là il s’avance et marche sur l’eau ! Hosannah, Hosannah ! Chez les sarkozystes, c’est l’extase. Nadine Morano esquisse une danse lascive et érotique. Nathalie Kosciusko-Morizet se jette dans les bras de Jean-François Copé. Et François Fillon, comme possédé, entre en transe. Et le lendemain ? Le lendemain la presse française, unanime, titre : « Sarkozy ne sait pas nager ». ...



                        • le poulpe entartré 3 mars 2012 15:23

                          Spartacus, citoyen d’eurodisney, qui découvre le pays où il habite, la France. Spartacus qui déjà atteint des terribles dégats qui résultent de la maladie d’Alzeihmer, ne se souvient plus que ce pays a une histoire. Que quand bien même, les pages sombres sont bien plus nombreuses, il y a souvent eu des Français pas nombreux il est vrai, qui se sont levés, parfois soulevés, pour mettre un terme à l’ignoble, l’abject, la trahison, la décomposition, la dégénérescence et l’intelligence avec l’ennemi. Ils ont sauvé l’honneur en leurs temps. Les cadets de Saumur qui se sont courageusement battus face aux troupes allemandes, bien que sachant qu’il n’y avait pas de réserves, qu’ils étaient seuls. Le groupe manouchian admirables résistants, mort pour la France.

                          Plus difficile à cerner, l’ennemi actuel n’est pas la finance mondiale mais quelques établissements financiers supra-nationaux qui sont en train de mettre à sac, la Grèce, l’Italie, l’Espagne, le Portugal et qui commence à grignoter l’hexagone. Ils place leurs pions à la tête des états (soient -disant en faillite) après avoir truqués leurs comptes, spéculer contre eux (faciles puisqu’ils étaient au coeur des décisions à venir avant qui que ce soit) sans que les peuples aient à se prononcer. C’est ce que certains appellent le finance-fachisme. A la manoeuvre : JP Morgan, entre autres. En France, la même engeance des collabos qui avaient préparés et fait le choix de la défaite en 1940, s’active : « plutôt la défaite que le front populaire ».
                          Ils ont refait surface et se sont infiltrés là où se situent les leviers de contrôle et de pouvoir. La presse, la radio, la télévision même publique est infectée. Pujadas est emblématique en ce sens que sans avoir la hargne d’un Goebbels, il officie lui aussi à propager la voix de son maitre comme l’autre. 
                          L’internaute si mal dénommé Spartacus, en est encore au stade des croyances. Baudruche crevée, il se cache derrière un « on a cru » au lieu d’avouer qu’il croyait que, etc. En plein délire onirique, il proclame : « on sait qu’il sont, etc » : autrement dit : rien dans les tripes.
                          Il est cependant plein de ressources, dont un comique troupier sans pareil. Ne voilà t il pas qu’il s’offusque du droit à l’insulte ? L’exemple présidentiel du fameux « casse toi pov’con » lui va comme un gant et tout le reste est à l’avenant.

                           De quoi parle t il au juste : de droit à l’insulte ? Voilà un créatif dans le domaine juridique, il ignore jusqu’à l’existence du code pénal. il s’est probablement rendu compte (ou plutôt, même pas compte) du grotesque de ses propos alors changement de registre. Ce en quoi, il imite son idole de poche par des affirmations successives qui se veulent vérités car prononcées de manières rapprochées et définitives.

                           Qu’en est il ? « Empêcher de parler ? Se déplacer ? » Qui envahit les émissions de télévision, de radios, aux heures de grandes écoutes ? Qui s’est déplacé aux frais de la république pour minimiser ses frais de campagne électorales ? Qui par ses groupes de lobbying, interdit d’antennes François Asselineau (par exemple) ? Qui lors de ses déplacements mobilise six cent policiers, gendarmes, deux hélicoptères et interdit des habitants de rentrer chez eux ?
                          Il l’ignore bien sur et ce n’est pas son soucis mais bien sur.

                          A l’examen, la ficelle du pseudo-spartacus est encore plus immonde. Selon lui, il serait empêcher de parler et de se déplacer parce ce que d’autres personnes n’auraient pas les mêmes idées que lui. Rien n’est plus faux. Sa maladie s’accentuant à chaque jour qui passe, il a oublié qu’il est candidat à la présidence et qu’il est également le candidat sortant. Et maintenant, c’est l’heure du B I L A N. Un bilan, le pseudo-spartacus sait il seulement ce que cela recouvre ? C’est l’état patrimonial d’un groupement, d’une société, d’un groupe de société, d’une région ou d’un pays. Un PDG se doit de présenter son bilan devant l’AG des actionnaires. Quel B I L A N peut présenter le sortant ? Une situation désastreuse, des décisions désastreuses, des projets désastreux ; autrement dit, avec un commandant pareil, le bateau France continuera à prendre eau de toutes parts. Les services publics en voie de destruction, le système de santé vandalisé, l’éducation torpillée, l’industrie en friche, le nombre des chômeurs et précaires qui dépasse 10% de la population. C’est cela, SON BILAN. C’est cela qui a été hué, cinq années à favoriser ses amis, ses bandes au détriment de l’intérêt général dont il ignore même le concept. Un dirigeant mauvais et qui bidonne, raconte des cracks, l’assemblée générale des français dit stop ! Il doit débarquer, sac à terre et bye bye.

                          Et le pseudo-spartacus qui ouvre la bouche pour donner sa définition du fachisme alors qu’il entrave rien. Un référendum a eu lieu en France. Les français, le peuple français souverain avait dit merde au traité de Lisbone, malgré le matraquage presse, radio et télévisuel. Qu’à fait l’autre ? Il l’a ratifié comme un voleur entre par la fenêtre, quand même. Ca donne tout de suite le niveau.
                          Le peuple français est seul souverain, ce qu’il a fait, lui seul peut le défaire, en se prononçant, par référendum. Un président de la république n’est que son mandataire et celui-ci se doit d’obéir, oui vous avez bien lu, d’obéir et se soumettre à ses décisions. 2012 sera l’année de la fin pour ses tricheries.


                        • sisyphe sisyphe 3 mars 2012 15:26

                          article ridicule, qui ferait mieux d’essayer d’analyser LES RAISONS qui font que ce petit kondukator est haï, et dieu sait s’il y en a ; ne serait-ce que d’avoir détourné les institutions de la Vème République, méprisé le peuple, ne pas cesser d’essayer de le diviser, de le scinder, catégorie contre catégorie, de détruire systématiquement tous les services publics, d’avoir trempédans toutes les affaires louches depuis Karachi, Bettencourt et compagnie, d’avoir installé un régime autocratique, bâillonné les télés de service public, la justice, démoli l’hôpital, l’école, d’avoir dirigé pour les riches et contre les pauvres, d’avoir aggravé comme personne avant lui la situation de la France et des Français sur tous les plans : économique, financier, social, essayé de nommer son fils, incompétent, à un poste de responsabilité, d’avoir placé tous ses proches aux postes de commande, d’avoir avili la démocratie.

                          La haine qu’il reçoit, (et de façon très modérée) en retour, c’est bien lui et lui seul qui l’a semée, partout où il est passé.

                          Qui sème le vent, récolte la tempête ; qu’il l’assume.


                        • spartacus spartacus 3 mars 2012 18:33

                          Des attaques sur la personne, la gauche est devenue haineuse. Elle détient la vérité et n’aime pas la contradiction.

                          Pendant longtemps on a cru que les fascistes avaient élu domicile à droite.
                          Maintenant avec cette campagne on sait qu’ils sont à gauche.

                          Vos réaction font peur a voir. Prenez du recul et relisez-vous !
                          Vous êtes devenus intolérants et fascisant.


                        • le poulpe entartré 3 mars 2012 23:45

                          Le bouffon spartacus ne supporte pas son reflet dans le mirroir. Charlot un jour, charlot toujours. L’aimable Rinaldi est malheureusement mort mais Charlot était un nom de scène. Pour l’internaute pseudo-spartacus c’est un objectif de vie. Connaissances crasseuses en histoire, même que de France, il étale le vide lacunaire de ce qui reste de son bagage scolaire aux yeux de tous, obscène sous toutes les coutures, de stupidité et de formules creuses. Toujours en train de se cacher honteusement derrière un « on », ses balloches dans la poche. Toutes les caractéristiques du beauf alcoolisé : le cave de base.


                        • spartacus spartacus 6 mars 2012 10:17

                          Des attaques sur la personne, comme à l’habitude.

                          Sans intéret.


                        • gordon71 gordon71 3 mars 2012 13:30

                          création du CBT conseil Basque de Transition 


                           « révolution des bérets »

                          BHL arrive quand pour soutenir le droit des peuples à disposer d’eux mêmes pour une révoution démocratique ?

                          • jaja jaja 3 mars 2012 14:37

                            BHL est un soutien de l’impérialisme et du CAC 40. Il n’a donc aucune raison de soutenir les Basques.....

                            Tiens une autre vidéo des Basques manifestant contre Sarko....

                            http://www.youtube.com/watch?v=uOf8H8N6au8&feature=share


                          • eric 3 mars 2012 20:20

                            Que les gauches aient de fortes tendances autoritaires n’est pas une découverte. Qu’elles se prennent pour le peuple non plus. Qu’elles soient durablement minoritaires est confirmé par tous les sondages qui donnent 60% d’hostilité à leurs idées au premier tour.
                            En fait, le seul mythe qui tenait encore un peu était qu’il y avait quelques vrais défavorisés qui votaient encore et malgré tout à gauche. Avec l’étude du Monde IFOP, on sait désormais qu’elle réalise ses meilleures intentions de vote dans les centres historiques des grandes villes ou cohabitent les pistonnés des logements sociaux subventionnés, intermittents et autres associatifs amis des apparashiks qui gèrent ces trucs et autres cadres sup bénéficiaires nets de la dépense publique.
                            Ici, on a affaire à une union sacrée des deux types de population. Alterécoloindépendantistes et caciques repus du PS. Leur violence est compréhensible face à un candidat qui veut réévaluer les affectations de notre argent commun au bénéfice de tous et demande à chacun de travailler ; Dans les deux perspectives, ils ont beaucoup à perdre et sont parfaitement excusables. Chacun réagit à la mise en cause de ses privilège avec les armes dont il dispose. Les « riches riches » se barrerons pour ne pas payer. Les modestes prébendiers se contentent de lancer des œufs et de tenter d’interdire tout débat sur l’usage de notre argent.

                            A mon avis, c’est une erreur stratégique. Le plus souvent, les élus de droite n’ont pas besoin de faire plaisir à la riche clientèle du PS qui ne votent pas pour eux dépendent moins des crédits publics pour leurs revenus personnels. Ils peuvent donc se permettre de mieux prendre en considération les demande des supplétifs des gauches marginales. L’élus PS doit réserver les crédit pour son camarade patron de DRAC, l’élu de droite peut se permettre d’améliorer le sort de l’intermittent qui vit sur le même budget ( ne serais ce que pour embêter le premier) Aujourd’hui, le seul vote raisonnable de survie pour les supplétif des gauches marginales et de voter à droite.
                            Bon ils peuvent aussi continuer à croire aux promesses de leurs grands frères socialistes : des crédits, des postes, des titularisations.
                            Faudra pas se plaindre aprés.

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Alain Bousquet

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