Commentaire de le poulpe entartré
sur Le jour où Sarkozy a rencontré le peuple
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Le bouffon spartacus ne supporte pas son reflet dans le mirroir. Charlot un jour, charlot toujours. L’aimable Rinaldi est malheureusement mort mais Charlot était un nom de scène. Pour l’internaute pseudo-spartacus c’est un objectif de vie. Connaissances crasseuses en histoire, même que de France, il étale le vide lacunaire de ce qui reste de son bagage scolaire aux yeux de tous, obscène sous toutes les coutures, de stupidité et de formules creuses. Toujours en train de se cacher honteusement derrière un « on », ses balloches dans la poche. Toutes les caractéristiques du beauf alcoolisé : le cave de base.
Derniers commentaires
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06/03 10:17 - spartacus
Des attaques sur la personne, comme à l’habitude. Sans intéret.
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03/03 23:45 - le poulpe entartré
Le bouffon spartacus ne supporte pas son reflet dans le mirroir. Charlot un jour, charlot (...)
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03/03 20:20 - eric
Que les gauches aient de fortes tendances autoritaires n’est pas une découverte. (...)
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03/03 18:33 - spartacus
Des attaques sur la personne, la gauche est devenue haineuse. Elle détient la vérité et (...)
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03/03 15:26 - sisyphe
article ridicule, qui ferait mieux d’essayer d’analyser LES RAISONS qui font que ce (...)
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03/03 15:23 - le poulpe entartré
Spartacus, citoyen d’eurodisney, qui découvre le pays où il habite, la France. Spartacus (...)
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