Bonjour à tous,
Merci @Ariane pour ce bon article, mais quand vous écrivez pour le 18 mars une participation de 10 000 à 20 000, vous pensiez 100 000 à 200 000 ?
Je pense qu’il s’agit d’enfumage comme pour le Halal, taxation à 75%, Schengen and so on.
Mais toutes les propositions, programmes des candidats ne prennent pas en compte les décisions que vont prendre le Conseil et la Commission Européenne après la ratification du TSCG.
Je vous copie mon commentaire sur l’article de Chapoutier sur le TSCG, MES dictature :
Tous les politiques, médias se sont félicités du pseudo succès du
plan de restructuration de la dette grecque et son passés à autre chose.
Vous évoquez les CDS à propos du PSI grec qui n’auraient été
concernés qu’à hauteur de 3,2 mds €, ce qui ne correspond en rien au
nombre et valeur des titres obligataires grecs émis.
L’opacité de l’ISDA, ne permet pas de donner une estimation précise
du volume des CDS émis sur cette dette, elle va de 70 à 198 mds €.
Ceci
d’autant plus que les établissements financiers connaissaient le détail
des négociations du PSI et ont pu émettre de nouveaux CDS pour se
couvrir ou faire des profits sur leur cession. Finalement, il existe, a
priori, en valeur plus de CDS que de titres grecs.
ISDA et CDS :
http://www.renovezmaintenant67.eu/i...
Comme beaucoup d’autres, je me suis fait « piéger » par la fausse information de la création de plus de 1 000 mds € par la BCE.
En réalité, cette information est totalement fausse comme le démontre cette analyse, mais les médias entretiennent ce mensonge.
http://www.les-crises.fr/la-monnaie...
L’information est détournée, manipulée sur des sujets techniques que
les citoyens considèrent trop complexes pour les comprendre.
A part, le FDG, plus pédagogue, tout le monde fait silence car tous
les pseudos programmes des candidats dépendent des décisions du Conseil
et de la Commission Européenne après la ratification du TSCG.
A nous, les joies des « plans d’aide » conditionnés par des « réformes structurelles » accompagnés de plans de rigueur, d’austérité.
A propos, lors de la mise sur le marché des nouvelles obligations
grecques à 30 ans, elles se sont négociées entre 32 et 35 € pour un
nominal de 100 €.
Conclusion, les opérateurs des marchés anticipent une faillite de la Grèce.
C’est’y pas beau çà !!!