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Commentaire de mbdx33

sur Mélenchon nos âmes


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mbdx33 mbdx33 9 mai 2012 15:59

C’est vrai qu’au FdG nombreux sont ceux qui souhaitent qu’il abandonne son mandat européen pour le national. Et Mélenchon traine des pieds pour le faire ! Alors les journaleux, ont parlé de Paris, puis de Marseille, maintenant c’est ici.
Bref quand vous dites reconnaissance de sa discipline électorale, il y a de quoi sourire, parce que rien ne permet de dire cela aujourd’hui.

Vous parlez de retraites cumulées ? Soit vous avez des preuves, soit vous diffamez.

journaliste, enseignant donnent des points retraites comme chauffeur routier ou métallo, on ne perçoit pas une pension quand on arrête. Donc c’est faux.

Sénateur :
C’est en 1904 que le régime des retraites des sénateurs et des députés a été créé. Depuis, il n’a subi que 3 modifications, en 1958, en 2003, et en 2007, notamment pour faire passer l’âge de la retraite de 53 à 60 ans. Aujourd’hui, un mandat suffit pour qu’un ancien parlementaire touche une retraite de 1 553 euros par mois, à partir de ses 60 ans. Cette somme s’élève à 3 096 euros pour deux mandats, 4 644 euros pour trois mandats et augmente ainsi, proportionnellement, jusqu’à un plafond de 6 192 euros. Résultat : la pension moyenne d’un sénateur est de 3 085 euros et celle d’un député de 2 192 euros. Les parlementaires de plus de 60 ans ne pourront toucher leurs retraites qu’à la fin de leurs fonctions.

Les parlementaires bénéficient d’un régime de retraite souvent qualifié de « très spécial ». Un député bénéficie d’un rapport de 1/6 au moment du calcul de la retraite. En clair, cela signifie que pour 1 euro cotisé, 6 euros seront perçus (contre 1,5 euros dans le régime général). En octobre, les députés ont légèrement réformé ce régime : les députés qui sont en plus fonctionnaires (Conseil d’Etat, Inspection des Finances ou autre) ne pourront plus cotiser à leur régime d’origine. Mais il y a un autre motif de grief : les allocations chômage. Pendant leur mandat, la cotisation que doivent verser les parlementaires est de 0,5 % contre 2,4 % pour le salarié du privé. Un député battu aux législatives pourra pourtant bénéficier pendant 6 mois d’un « revenu de transition » équivalent au traitement mensuel qu’il touchait sur les bancs de l’Assemblée (5 400 euros environ). Un montant dégressif qui atteint toujours 20 % de cette somme au bout de 4 ans. Et si, pendant cette période, l’ancien député retrouve un emploi moins bien payé, un différentiel lui sera versé.

Mélenchon : Je signale aussi à votre vigilance un message que l’extrême droite fait circuler sur internet concernant mes indemnités d’élu. Ce message mensonger prétend que je cumulerais les indemnités de député européen, de sénateur, ainsi que des retraites d’élu local. Comme vous le savez je ne suis plus sénateur depuis mon élection comme député européen et je ne touche donc aucune indemnité de sénateur. Je ne touche pas non plus de retraite au titre de mes anciens mandats locaux. Je ne perçois que l’indemnité correspondant au mandat de député européen, la même que les autres députés européens. Nous sommes entrés en campagne et ce genre de messages montre que certains sont prêts à tout dans cette bataille, y compris avoir recours aux mensonges les plus grossiers. Je forme le voeu que chacun ait la discipline civique de couper court à ce genre de calomnie. Bien sûr en ne les répercutant pas lui-même sans réfléchir, mais aussi en y répliquant systèmatiquement. Sans notre vigilance, comme le disait Léon Blum en 1936 "il n’y a pas d’antidote contre le poison de la calomnie. Une fois versé, il continue d’agir quoiqu’on fasse dans le cerveau des indifférents, des hommes de la rue comme dans le coeur de la victime.« 

http://www.gauchemip.org/spip.php?article15651

Maire ne donne droit à aucune retraite. Un maire perçoit juste une indemnité durant son mandat. là encore ce que vous dites est faux.

Ministre : http://www.linternaute.com/actualite/politique/retraites-politiques/ministres-2.shtml

 »A l’exception des ministres fonctionnaires qui continuent de cotiser à leur caisse de retraite d’origine pendant leur mission au gouvernement, les ministres et les secrétaires d’Etat ne bénéficient d’aucun droit à la retraite. ...« 

 »Si le métier de ministre n’est visiblement pas très avantageux en termes de retraites, il l’est beaucoup plus en ce qui concerne le chômage. Compte-tenu de la « précarité » de leur situation, Premier ministre, ministres et secrétaires d’Etat peuvent en effet toucher l’intégralité de leurs indemnités de fonction après leur remplacement et ce, pendant six mois. Les anciens membres du gouvernement n’ayant pas retrouvé d’emploi sont donc, pendant cette période, les chômeurs les mieux indemnisés : ils peuvent toucher en tant qu’inactifs jusqu’à 12 800 euros brut par mois pour un ancien secrétaire d’Etat, 13 900 euros pour un ancien ministre ... les ministres perdent toutefois la totalité de leurs avantages après leur départ des ministères, du logement de fonction à l’accès gratuit au réseau SNCF en 1re classe.

Donc là encore vous racontez n’importe quoi.

Même Saturnin51 dans les prétendues sources que vous citez, vous explique que ce truc est une connerie.

Là où vous êtes de la plus grande mauvaise foi, c’est que vous parlez de source, alors que ce n’est qu’un message dans lequel un imbécile raconte n’importe quoi sans rien prouver, qu’une autre personne dément et que vous venez relayer cette fausse information. Par ailleurs, je n’ai pas besoin de vous rappeler que les indemnités de ministres, sénateurs, etc ne concerne pas seulement Mélenchon, mais tous les élus ou ex élus dans le même cas, de droite ou de gauche, Y COMPRIS ceux ou celles d’EXTREME DROITE.

Vos propos sont ceux d’un vulgaire facho populiste qui vient troller n’importe quoi, pourvu qu’il salisse. Honte à vous.


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