Commentaire de Antoine Diederick sur Petites considérations de philologie politique post-électorales

Commentaire de Antoine Diederick

sur Petites considérations de philologie politique post-électorales

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Antoine Diederick 13 mai 2012 20:02

« ....se faire passer pour les papes de nos consciences. »

de tout les mouvements politiques, la gauche sociale excelle à cette papauté de la conscience, et le mot humanisme n’est qu’un avatar d’expression pour illustrer ce qu’est la charité , l’empathie, le respect des autres etc....

De toutes ces qualités, humanisme, universalisme, respect....qui peut dire qu’il en est le dépositaire ?

Personne.

Ce sont des qualités qui sont possédées soit naturellement soit par un cheminement personnel.

Il n’est pas vrai, qu’un mouvement qui veut rassembler possède par lui-même les qualités du plus grand nombre et qu’il puisse provoquer l’adhésion d’un bandit endurci. En cela, le socialisme copie la perversité de la religion mal vécue.

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