Vos affirmations sont un peu faciles et de mauvaise foi. La sortie d’un État est vraiment bien compliqué.
Pour le reste si la Grèce ne paye pas
ses créancier et ensuite travaille en équilibre sur ses comptes public
sont avenir sera bien meilleurs que ceux promis par le FMI, BCE et autre
protège rentier. De plus personne ne peut obliger le peuple Grec a
quitter l’Europe et le parti numéro trois (le parti frère du FDG donc le
seul parti anti-rentier) ne veut pas non plus.
Donc il faudra vous réformer en adéquation avec la réalité.
Info art. 50 TDL
"Il s’agit de la procédure prévue par
l’article 50 du TUE (ancien article 49A). Dans cet article, il est
précisé que tout Etat membre peut, à tout moment, et conformément à ses
règles constitutionnelles, décider unilatéralement de se retirer. Une
fois cette décision notifiée au Conseil Européen, une procédure lourde
est mise en place, qui prévoit l’engagement de négociations (article
188N) impliquant le Conseil Européen, la commission et le Parlement, et
même la Cour de Justice des communautés européennes (CJCE) si elle est
saisie par un autre Etat membre.
A la suite de ces négociations, soit un
accord est conclu organisant les modalités du retrait, soit ce retrait
est effectif deux ans après la notification de la décision de retrait.
Ce texte n’est juridiquement pas satisfaisant à plus d’un titre.
Notamment on relèvera qu’il ne vise que le retrait intégral et définitif
de l’Union Européenne, et ne concerne donc pas le retrait de
l’Eurozone. De même, il ne saurait régler la question du retrait d’une
province ou d’une région d’un Etat membre (c’est déjà arrivé pourtant
avec le Groenland en 1984). Mais surtout, sous couvert d’instaurer un
droit garantissant la souveraineté des Etats membres au sein de l’Union,
les rédacteurs ont de fait habilement permis d’instaurer un mécanisme
lourd et long, et dont la simple existence permet d’écarter la mise en
œuvre des mécanismes de retrait des traités internationaux prévus dans
le droit international public classique, et particulièrement dans la
Convention de Vienne, qui prévoyait un droit plus simple à exercer et
surtout soumis à un délai d’un an."
Source :
http://postjorion.wordpress.com/2012/02/16/229/