Yang nous a pondu un article sur le blues des vieux bobo-nobos qui mirent avec nostalgie leurs vieux exploits à la Rocco Siffredi .
Aucune classe cette engeance !!!!!!!! même pas l’excuse, contrairement à nos p’tits d’jeunes d’aujourd’hui, de ne pas avoir retenu la leçon du troubadour ... et après ils se plaignent et se morfondent sur leur solitude, à rêver de nymphettes.
Et gloire à don Juan, d’avoir un jour souri
A celle à qui les autres n’attachaient aucun prix
Et gloire à don Juan d’avoir pris rendez-vous
Avec la délaissée, que l’amour désavoue
Et gloire à don Juan pour ses galants discours
A celle à qui les autres faisaient jamais la cour
Et gloire à don Juan qui couvrit de baisers
La fille que les autres refusaient d’embrasser
Et gloire à don Juan d’avoir osé trousser
Celle dont le jupon restait toujours baissé
Et gloire à don Juan qui fit reluire un soir
Ce cul déshérité ne sachant que s’asseoir
Et gloire à don Juan qui rendit femme celle
Qui, sans lui, quelle horreur, serait morte pucelle
Cette fille est trop vilaine, il me la faut !