Mais mon cher ami le GIEC n’est pas détenteur de la vérité universelle, il n’est que le seul que le politiquement correct autorise à parler
Je vous reproduis ci-après la fin d’une chronique de Claude Allègre, dont la compétence n’est pas négligeable,parue dans l’EXPRESS N° 2822 du 1er au 7 Août 2005,
".....Mais d’autres mécanismes, comme l’émission de poussière, jouent en sens inverse. Et l’on ne connaît pas très bien le rôle du cycle de l’eau.
Or, dans le passé, les augmentations de gaz carbonique ont suivi celles de la température. Quelle est la cause ? Quelle est la conséquence ?
Bien sûr, à l’aide d’ordinateurs de plus en plus puissants, des armées de scientifiques calculent à tour de bras. Mais les prévisions sont au mieux aléatoires, le plus souvent fausses.
On ne comprend pas les déterminismes du climat, qui sont peut-être, eux aussi, impossibles à prévoir parce que trop instables.
Au vu des données actuelles, il paraît prudent de limiter tes dégagements de gaz carbonique dans l’atmosphère. Le premier objectif est d’éliminer les centrales à charbon et à pétrole - donc de développer le nucléaire - de diminuer la consommation d’essence par les voitures- donc de promouvoir les voitures hybrides ou électriques.
Et les scientifiques doivent avoir le courage de dire qu’ils ne comprennent pas bien le climat.
Ainsi, alors que deux théories s’affrontent quant au rôle de l’océan et des fluctuations des courants dans l’Atlantique Nord, les climatologues européens refusent d’en débattre publiquement. On l’a vu lors du 2e symposium de l’European Geosciences Union à Vienne : Ils y ont évité toute polémique pour protéger leurs sources de crédit. Est-ce responsable ? • "