Pour le vide :
En effet, dans la science officielle, le vide n’est pas vide.
Il est le siège de particules virtuelles, il a des propriétés,...etc
Mon problème n’est pas à ce niveau-là, mais sur le fait de donner aux choses un nom qui les décrit correctement : si le « vide » contient des choses, s’il a un ensemble de propriétés, alors il est maladroit de l’appeler « vide » : mieux vaut l’appeler « éther ». D’autant qu’il n’est pas incompatible avec le relativité et que l’électromagnétisme en a besoin pour propager la lumière.
On pourrait certes désigner le vide par le mot « plein », ou le plein par
le mot « vide », ce n’est qu’une convention après-tout. Sauf que cela ne
faciliterait pas la compréhension, ce serait s’inventer un paradoxe
artificiel, par flemme de désigner correctement ce que l’on voit.
Sur ce point, je ne suis donc pas du tout hérétique de la science moderne, mais j’ose prononcer un mot interdit...
Pour Newton :
En pratique, pour les mouvements spatiaux, c’est la loi de Kepler qui est utilisée ( v².r=K). Les masses sont calculées à partir des lois de Kepler. C’est plus simple d’utiliser les données brutes du mouvement, que les données secondaires de masses, qui sont des estimations à partir du mouvement. La constante gravitationnelle G a une très grande incertitude en pratique, de même que la masse du Soleil, en revanche la constante de mouvement du système (le K de v².r=K) est connu avec une très grande précision.
Pour les paradoxes :
En effet, je n’aime pas les paradoxes inutiles. Pourquoi donc refuser d’avoir un modèle cohérent, si c’est possible ? Pour le plaisir de tout embrouiller ?
Publier ? Peut-être un jour... Mais je n’en suis pas là. Revisiter l’histoire des sciences, répertorier la variété des phénomènes, estimer la valeur des hypothèses faites, voir à chaque fois si l’avenir leur avait donné raison (les paradoxes sont en général issus d’hypothèses erronées au départ qui n’ont pas été corrigées pour des raisons « diplomatiques » - chaque découvreur a fondé son école et ses sectateurs défendent le dogme).