Encore un qui a oublié de lire l’état des comptes de la nation et qui n’a aucune idée, pas même comptable, de ce que signifie le mot : PASSIF. Non, pour lui il est tout naturel que l’on efface les résultats et toutes les actions (dans le mauvais sens de l’intérêt général, l’inaction, le parasitisme, les enveloppes kraft, les valises remplies, les bidonnages médiatiques de dernière minute, les mesures iniques, etc, etc, etc). Selon lui, tous ces prévaricateurs n’ont pas de compte à rendre. Autrement dit, il serait si heureux que la partie d’open-banque et bar, voir cigare (12000€ quand même) soit terminé et que l’on garde que des bons souvenirs.
Là, il se ramasse complètement le pauvre gars. Il est l’heure de rendre des comptes mais ça lui fait mal aux fesses. Il n’est pas d’accord. Comme pour une voiture volée, il ne voudrait pas qu’on la démaquille. On se passera de son accord : les français ont tranché.
Le bilan de l’ex et de son gouvernement est catastrophique et la découverte des surprises (pour ne pas dire des conneries) dans les placards vient à peine de commencer.
Malheureusement, il y a des tendances de fonds qui ne pourront être corrigées que sur du moyen terme (deux à trois ans). L’équipe qui vient d’arriver se doit dans un premier temps, de colmater les brèches qui s’ouvrent partout, tellement cela été précédemment le règne du je-m’en-foutisme-et-en-attendant-moi-je-me-sers.
Après, elle pourra commencer à mettre en oeuvre les mesures qui vont redresser la France, redonner aux français le goût du travail, de l’effort, de la réussite et lui redonner la crédibilité, le rayonnement perdu depuis cinq ans.