Bonjour julien.
Je n’ai aucune sympathie pour le FN, mais
quelques unes pour Debout la république même si je ne partage pas
sa volonté de se fermer au monde car nous n’en avons plus les moyens
ni nous ni mes autres. Mais par ailleurs tout comme vous il pointe
les abandons de souveraineté essentielles telle celui du pouvoir
régalien passé aux mains des banques, la culture mercantile (animé
par l’avidité).
Pour autant aucun de vous ne condamne le capitalisme, mais fustige le libéralisme.
C’est la confusion communément faite, le libéralisme est un espace de liberté dans lequel les capitalistes se sont toujours taillé la part du lion. Ce n’est pas une nouveauté mais ceux qui condamnent le libéralisme en lieu et place du capitalisme, ne peuvent que faire le lit d’une autre forme de dictature que celle qu’instaurent ceux qui aujourd’hui se sont appropriés la création de monnaie en lieu et place du peuple, et qui s’apprêtent à s’approprier la gestion budgétaire de l’état par la règle d’or, toujours au nom du libéralisme. Pour bien distinguer cette situation je parle de « libéralisme capitalistique ». Alors commencer par lever les confusions, ou alors citer moi une vertu du capitalisme.
Vous voulez vous occuper de donner un avenir aux jeunes, alors proposer leurs de s’inscrire ans les trace de Fernand Pelloutier , proposer leur autre chose que de reproduire une organisation économique qui date de 1804. Proposez leur ceci : Nous pouvons convenir que lorsqu’un particulier prend l’initiative d’un investissement créatif, il est normal qu’il dispose des revenus et profits de ce dont il est le propriétaire.
Mais lorsque son projet doit utiliser l’aide de tiers, alors c’est lui qui est demandeur ; et c’est une évidence que de comprendre que sans ces aides, il ne parviendrait pas à ses fins.
De fait une collaboration s’impose, et si le propriétaire veut être le maître absolu de ses décisions, s’il veut disposer du fait du prince, alors il doit rester seul. Dans tous les autres cas il y a une collaboration à imaginer pour que le propriétaire conserve les profits de son investissement et atteigne ses buts, sans s’approprier ceux générés par les tiers. L’histoire de l’impuissance collective a conçu des maîtres plutôt que des guides. Le reconnaître ne la rend pas irréductible ; et si le code civil a analysé en 1804 la « marchandisation » de la force de travail comme du « louage de service », donc du marchandisage, je pense que depuis 1804, il est intervenu bien des événements culturels (développement des sciences) qui nous permettent de concevoir notre activité de travail complexes entre adultes culturalisés, comme une relation humaine, et non un conflit d’intérêt.
Mais qu’avez-vous de plus à leur offrir que les « miasmes » des cerveaux bloqué qui sont les nôtres ou pour tout avenir l’on demande aux hommes de savoir se vendre, ultime modernité pour ceux qui ont oublié que tel étaient leur état avant les lumières du libéralisme.
cordialement.
25/09 17:40 - armand
Mdr le courrier du coeur.... regardez derrière vous , il y a combien de personnes (...)
23/09 11:47 - F-H-R
Complètement d’accord avec Scual. Nicolas Dupont-Aignan est l’archétype de (...)
21/09 18:28 - arobase
tythan le jeu du fn est clair : discréditer NDA et lui piquer ses électeurs. NDA a été (...)
21/09 18:08 - arobase
NDA est de droite, le fn est de droite, le centre est de droite, l’ump est de (...)
21/09 10:29 - Onecinikiou
@ Scual, pour terminer, Je ne daignerai même pas répondre sur votre affirmation ô combien (...)
21/09 10:22 - Onecinikiou
@ Scual toujours, Voyez comme votre argumentation est consternante puisque vous feignez (...)
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