Je ne suis pas contre.
par le biais d’intervenants extérieurs ...
L’école n’est pas contre des intervenants extérieurs en général ... au delà des compétences en matière de généalogie, cela suppose un cadre, un enseignement très structuré, cohérent, au niveau pédagogique, et au niveau national pour une éducation assez homogène (si vous voulez qu’elle fédère), qualités que n’ont pas forcément des intervenants extérieurs. Donc un programme précis, structuré, et détaillé ... pour ne pas partir tous azimuts au gré des fantaisies des intervenants.
Les dérives possibles, on les devine déjà ... en filigrane. Vous n’ignorez pas les controverses concernant les « racines chrétiennes » de l’Europe que certains aimeraient graver dans le marbre, pour vous donner un exemple. Plus loin que la filiation purement héréditaire, génétique, il y a tout un pan « atavique », c’est à dire culturel au sens large, autre transmission héréditaire qui va plus loin que la connaissance du nom de nos ancêtres.
matière à part entière ? vous y allez un peu fort. Une sensibilisation, serait déjà pas mal.
ce serait peut-être une nouvelle manière d’amener nos enfants à
découvrir l’histoire autrement que par le biais de leçons barbantes ...
C’est pas sympa pour les profs ce que vous écrivez ! et puis, l’histoire passionne quand même un certain nombre d’élèves. Ceci dit , l’histoire des flux migratoires, jamais sans raisons, peut apporter d’autres perspectives, une autre grille de lecture éclairante de l’Histoire. Les interférences de la vie économique, des évolutions technologiques, l’incidence des guerres, des pouvoirs politiques etc. ... et déboucher sur une vision plus anthropologique de nos histoires.
La généalogie pourrait être un petit bout de la lorgnette qui permettrait d’ apercevoir d’autres horizons ... plus larges que ceux de l’histoire de nos cantons nationaux.