Désolée d’y revenir. Je n’avais pas tout lu (Labrune).
Ah, Desproges en Fouquier-Tinville !!! J’ai bien fait de rester debout jusqu’à cette heure-là.
Danton et les Girondins humains et modérés... ah, ha ha ! vaut-il vraiment mieux entendre ça qu’être sourd ?
Mais foin de ces vieilles lunes sempiternellement ressassées. Je reviens (brièvement cette fois) sur un point : François Furet n’a pas été un historien mais un agent de propagande payé - grassement - par l’extrême-droite américaine et notamment par la Fondation Olin, pour laver le cerveau à ses compatriotes, dans la crainte où étaient ces parasites et colonisateurs de son pays de nostalgies gênantes qui auraient pu se matérialiser à l’occasion de la célébration du bicentenaire, comme cela avait été le cas lors de celle du centenaire. Dans tous les pays du monde, c’est un crime de haute trahison dont il n’y a pas lieu de se vanter, même si les 30 deniers ont été consistants, merci.
Incidemment : c’est pour flanquer, selon ses propres termes, « une baffe à Furet » que Guillemin a écrit, sous le coup de l’indignation, son « Silence aux Pauvres ! » et il l’a précisé dans son introduction, précision sucrée par ses éditeurs, car se mettre mal avec les puissants n’est pas la vocation des éditeurs commerciaux.