que nous soyons a la recherche d’un modèle social qui puisse intégrer
avec bonheur les exceptions a la norme et les choix individuels est
plutôt une bonne chose
Je partage, c’est le sens de mes commentaires, au-dessus et en dessous. L’article débute sur un « Le personnel [d’ EGALIA] évite toute référence aux genres, masculin et féminin, ». Jusque là rien d’anormal, au contraire, un enseignant à des « élèves » devant lui, qu’ils soient filles ou garçons importe peu. C’est après que ça dévie ... 
mais des positions extrémistes comme cette école
sont des absurdités
Encore d’accord, et fort heureusement je constate que cela n’a pas échappé à de nombreux commentateurs.Les excès de quelques-uns ne doivent pas faire qu’on rejette tout, l’eau du bain et le bébé avec.
Si la ligne générale donnée est une orientation politique européenne (voir pour les détails mon post ci-dessous), il y a peut-être un manque de concertation entre États, sur cette nouvelle question « sociétale », qui découle assez naturellement à ce qu’il me paraît de la question de la mixité à l’école.
Je rejoins les éléments de consensus provisoires de l’ IUFM-Créteil dans cet article que je signalais, qui exprime que l’indifférenciation (élèves) n’empêche pas la différenciation (garçons, filles), ainsi que la conclusion de l’@uteur de l’article.
>> la nécessité pour l’école de reconnaître que les élèves ont un sexe et que la mixité ne peut avoir de fonction éducative que si elle est pensée et non simplement perçue comme une évidence ;
>> que comprendre la genèse parfois difficile de l’identité sexuée des garçons et des filles aide à déchiffrer certains de leurs comportements et difficultés ;
>> que la mixité, même si l’on y est attaché comme principe, peut être modulée, certaines plages pédagogiques non mixtes pouvant être bénéfiques aux élèves des deux sexes.