@ Magma,
Merci pour le discernement que vous m’attribuez.
J’en manque sans doute en maintes occasions mais généralement je m’attache d’abord à reconnaître ce qui a de la valeur, le fond, sans trop me formaliser de la forme.
Sur le fond, je trouve que Morice a raison.
Les spécialistes diront peut-être qu’il ne fait pas dans la nuance ici et là mais peu me chaud.
L’important est l’accumulation, probante à mes yeux, d’évidences qu’il est bon de rappeler.
Papon, c’est la France comme on voudrait l’oublier et dont il importe de se souvenir,
pour qu’on aille pas croire que cela ne pourrait pas nous arriver.
Sur la forme, ça fait un bail que je constate une haute température dans les fils de commentaires de ses articles mais, étant d’une culture de conflit (cad, un méridional habitué aux échanges un peu rugueux entre grandes gueules), cela ne m’affecte nullement, même si pour ma part, j’essaie de privilégier un mode d’échange plus courtois.
Même Ariane Walter, que je tiens en haute estime, s’adonne au repliement des commentaires. Alors, pourquoi pas Morice ?
De fait, on ne peut faire dans la virulence et le vindicatif tout seul même si on peut les susciter et les entretenir. Morice est bien sous de constantes attaques, il se défend à coup de marteau..., la belle affaire !
Comme a dit, je crois, un des fondateurs de la CIA : « même les paranoïaques ont des ennemis ! »