@ easy
Désolé, mais vous me semblez au bord de la mauvaise foi,
pour une raison qui m’échappe encore car je soupçonne qu’il y a du sens derrière votre argumentation au canon, mais je ne le vois pas.
Si les chiens ne font pas des chiens ils font quoi ?
Vous êtes de mauvaise foi ici parce qu’il n’y aucun abus, aucun biais, aucune erreur à dire que les chiens font des chiens.
Si je suis un cycliste, vous êtes un perfectionniste.
Et donc votre combat est vain, car la perfection n’est pas de ce monde.
Contrairement aux cycles, qui sont partout.
Entendez bien que reproduction ne dit pas réplication. Seule la réplication dit reproduction à l’identique.
Et la réplication, c’est juste pour les virus, des trucs avec à peine quelques molécules.
D’ailleurs, il y a des doutes sur le fait qu’ils soient « vivants ».
Donc par pitié, laissez tomber cette visée de perfection ou d’ « identité » dans la reproduction
Vous semblez aussi verser dans la mauvaise foi en m’attribuant un désintérêt pour les « imperfections » que pour ma part je vois comme « variations ».
C’est complètement faux, puisqu’ainsi que je l’ai indiqué, le vivant qui se définit par la visée de reproduction réalise celle-ci sur un matériau enrichi par les « variants ». D’où la créativité du vivant.
Il reproduit ... les variations avantageuses.
Donc voyez bien je ne peux pas négliger les différences. Elles offrent le matériau qui permet l’évolution, l’adaptation mais ce matériau s’évanouirait au premier vent s’il n’était CONSERVE par la reproduction.
Ceci vaut pour les habitudes comme pour le vivant. Les variations inhérentes à chaque réalisation nous offrent l’opportunité de les faire évoluer. C’est précisément ce que font les sportifs qui s’entraînent : ils sont en recherche constante du geste optimisé.
Vous plaquez sur mon modèle votre logique honnie de la pureté et de la perfection, mais c’est en vain. Je ne suis pas concerné.