l’analogie qui fait partie du mode de réflexion Thomiste suite à la pensée d’Aristote pourrait connaître quelques limites épistémologiques...toutefois, vous reprenez une vieille idée qui m’avait jeune blanc-bec, séduit : « Nos pensées et nos pratiques modifient-t-elles notre code génétique et si oui transmettons-nous à nos descendants ces modifications biologiques ? »
C’est dans le monde de la psychologie et des neuro-sciences qu’est apparue cette hypothèse.
Ce qui est intéressant, c’est de conduire cette réflexion dans le monde de la santé et des sciences sociales. Un questionnement est né à ce sujet dans la réflexion autour de la carcinogenèse par exemple.
Autour du modèle biologique il y aurait électricité, substances chimiques etc....comme transmetteurs intelligents. A partir de là, la notion de flux est intéressante.
En psychologie, il serait possible de penser qu’un changeant de comportement et en innovant avec de nouveaux habitus il y a changement de matière et de substance....
etc....
Maintenant comment faire le lien entre le vivant et la construction technique...celle d’un art partagé en somme....