Cher auteur, si la fin du monde arrive à l’heure dites, vous aurez la satisfaction de mourir en harmonie avec vous même !!!
J’avais cet aphorisme « nous ne sommes pas encore des Etres-humain mais seulement des Etres de l’humain car l’Etre-humain c’est l’humain de l’Etre tandis que l’’Etre de l’humain c’est l’humain-Etre. »
Pour lequel le mot humain désigne l’espèce animale et le mot Etre désigne la dimension spirituelle autoproclamé et affecté à l’espèce humaine.
Dire « l’Etre-humain » signifie donc que la nature spirituelle précède et domine la nature animale, placé après, c’est la nature animale qui domine la spiritualité de l’Etre.
Etant entendu qu’on ne dit pas par exemple « l’Etre-cochon » mais simplement le « cochon », cela parce que la nature spirituelle du cochon est contenu, se confond avec sa nature animale. A l’inverse, il est impossible de définir la nature spirituelle d’un humain à priori, mais seulement (de manière certaine) à postériori. Toutefois, un humain réduit à sa nature animale et donc régit par ses instincts, utilise son esprit à l’assouvissement de ces derniers... Sans aucune restrictions ni limites et vu ses capacités cela donne ce que l’on sait !