@ Furax
Soit,
»interdire" n’est pas le bon mot (mais je ne vois pas en quoi
l’utiliser par erreur dans une constatation serait une menace). J’ai voulu dire
que le refus de voir, de
reconnaître, de nommer les très
explicites appels « du Dieu » de l’Ancien Testament à massacrer empêche
les chrétiens sincèrement bien
intentionnés - ceux qui veulent suivre ce qu’est pour eux l’excellent
enseignement de Jésus - de comprendre que ce Jésus ne peut toujours pas réellement changer le monde avec leur
aide puisqu’il est bien malgré lui enfermé (son message est enfermé) dans une
monstrueuse contradiction maintenue sacrée pas les religieux de pouvoir se prétendant ses disciples.
Quand aux curés,
bonnes sœurs et autres fidèles admirables, j’en ai connu moi aussi beaucoup, et
il y en a toujours beaucoup dans mon entourage et dans ma propre famille. Des
juifs et des musulmans admirables j’en connais aussi.
C’est très triste, je
le répète, que tous soient malgré eux maintenus « complices » de la
violence religieuse effective et durable, étant obligés de croire
« bon » le modèle de cette violence s’ils veulent rester dans leur religion
(puisque ce modèle, selon cette religion, est et doit
rester sacré).
Quant au »culte
du profit, la rapacité, le goût avide de l’ARGENT", étant militant de
gauche depuis toujours je les condamne tout aussi fermement que vous. Et je
trouve tout à fait comparable le déni de leur nocivité et le déni de la nocivité
de la théologie criminogène Je répète que, pour moi, les désastres issus de ces
deux dénis hélas s’ajoutent.
Il faut donc détruire la théologie criminogène et
il faut détruire l’économisme. Et non pas choisir entre détruire l’un ou l’autre.