Je ne vais pas m’attribuer indument ce qui n’est pas mien. Il s’agit d’une citation d’un des principes pédagogique de Célestin Freinet.
Dans certain de ces autres invariants il affirme également la nécessité de la discipline et de l’autorité du maître sur l’élève.
Mais et c’est le sens de ce principe, il n’est pas envisageable qu’un individu passe simplement d’un modèle autoritaire à un modèle démocratique. Notez bien que je ne dis pas que ce passage n’est pas envisageable, mais bien que ce passage n’est pas simple. Donc si le modèle éducatif est uniquement autoritaire il ne remplit pas sa mission au moins celle de former des citoyens conscients de notre démocratie.
Quand à l’école d’entre deux guerre elle était factuellement moins efficace que l’école d’aujourd’hui dans le sens que moins d’enfants arrivait à faire des études supérieurs. Mais encore une fois ce qui se pose ici c’est la question de ce qu’on attend de l’école.
Mais ce que je défends c’est que votre point de vue rejoint ceux que vous condamnez dans le sens où il est monolithique.
Or c’est justement ce que je condamne. Croire qu’il y a une façon d’enseigner et que celle que défendu que ce soit et par X ou par Y est la bonne me semble dénué de bon sens parce qu’elle oublie un élément essentiel. L’humain enfant ou adulte est divers, la construction et le fonctionnement de sa pensé est diverse.
Ces préambule admit, croire qu’il n’existe qu’une seul façon d’enseigner m’apparait absurde.