Le problème du logement peut s’expliquer de manière dramatiquement simple : Il n’y en a pas assez, surtout de bonne qualité.
Mais pour autant il n’y a pas de solution simple. Et au problème de coût et de disponibilité de terrain, s’ajoutent les problèmes des riverains que ce soit les maire qui ne veulent pas en faire ou les habitants présent des quartier qui ne veulent pas voir du logement social s’installer à coté de chez eux.
Or les Verts ont connu la guérilla judiciaire qui à pu être faite contre la mise en place par exemple des éoliennes (cf http://www.ventdecolere.org/).
Est ce que le fait que n’importe qui réunis en association puisse contester un projet utile à la communauté est moins démocratique que le fait qu’une association reconnu par l’état c’est à dire à travers quelques indirections par vous ? Ça me semble difficilement tenable.
Par contre effectivement si le sujet vous intéresse et pas seulement parce que demain on va installé un nid à « pauvres » pas loin de chez vous et qu’au prix où vous avez payez votre baraque vous ne méritez pas ça, il est urgent soit que vous vous mettiez en contact avec un association idoine, ou que vous en créez une afin qu’elle puisse avoir l’agrégation avant que la loi ne passe.
Bienvenu dans la république française avec ses lois qui sont ce qu’elles sont mais qui ne changeront pas tant que des gens élus ne les auront pas fait changé, en les respectant parce qu’avant nous d’autres ont voté pour ces lois où pour les gens qui les ont mis en place. C’est ça la démocratie.
Le Mouvement Européen (organisation internationale)est nédes mouvements de résistance, à la fin de la Seconde Guerre mondiale.
À la libération, de nombreuses associations favorables à l’Europe unie
et à la paix entre les peuples apparaissent partout sur le continent.
Les délégués des différents mouvements se réunissent en Congrès de
l’Europe à La Haye en mai 1948 et créent le Mouvement Européen pour
donner un caractère permanent à leur action. L’Organisation Française du
Mouvement Européen est créée en 1949.
Et monsieur Cohn Bendit n’est pas cité dans la liste des vice présidents actuels.
(Source Wikipédia : Mouvement européen France)
Ceci donnant la mesure de l’absence d’intérêt qu’a le message précédent, je me permettrais néanmoins de rajouté une précisions :
EELV et ceux qui tournent autours sont aussi mondialiste que régionaliste. Ils veulent que ne soient pas construit des structures, industriels ou sociales sans tenir compte de l’avis des gens sur place et des conséquences que cela va avoir qui elles peuvent être mondiales. Et surtout ils veulent un démocratie plus proches des gens, ce qui implique une démocratie locale efficace.
Ce problème s’appelle la cinquième république. Il a été approuvé par référendum par 66% des citoyens français inscrits sur les listes électorales, représentant 80% des électeurs s’étant exprimé en 1958.
Il y a des partis politique qui essayent de jouer le jeu, qui reconnaisse que dans un état de droit, il faut appliqué le droit et même s’ils disent qu’il faut changé la constitution.
Et il y a ceux qui plutôt que d’essayé d’être constructifs préfère se faire passé pour des martyrs et ce sans mettre excessivement de force pour essayer de changer les règles. Est ce que c’est à ceux qui essaye de jouer le jeu qu’il faut faire des reproches ?
Est ce qu’une république plus représentative comme la 3eme ou la 4eme serait mieux ?
Je ne vais pas m’attribuer indument ce qui n’est pas mien. Il s’agit d’une citation d’un des principes pédagogique de Célestin Freinet.
Dans certain de ces autres invariants il affirme également la nécessité de la discipline et de l’autorité du maître sur l’élève.
Mais et c’est le sens de ce principe, il n’est pas envisageable qu’un individu passe simplement d’un modèle autoritaire à un modèle démocratique. Notez bien que je ne dis pas que ce passage n’est pas envisageable, mais bien que ce passage n’est pas simple. Donc si le modèle éducatif est uniquement autoritaire il ne remplit pas sa mission au moins celle de former des citoyens conscients de notre démocratie.
Quand à l’école d’entre deux guerre elle était factuellement moins efficace que l’école d’aujourd’hui dans le sens que moins d’enfants arrivait à faire des études supérieurs. Mais encore une fois ce qui se pose ici c’est la question de ce qu’on attend de l’école.
Mais ce que je défends c’est que votre point de vue rejoint ceux que vous condamnez dans le sens où il est monolithique.
Or c’est justement ce que je condamne. Croire qu’il y a une façon d’enseigner et que celle que défendu que ce soit et par X ou par Y est la bonne me semble dénué de bon sens parce qu’elle oublie un élément essentiel. L’humain enfant ou adulte est divers, la construction et le fonctionnement de sa pensé est diverse.
Ces préambule admit, croire qu’il n’existe qu’une seul façon d’enseigner m’apparait absurde.
Quand je lis qu’il s’agit d’ici d’un article plein de bon sens j’avoue mon étonnement.
En effet que dit fondamentalement ce message ? En résumé : pour favoriser les moins bon notre société a sacrifiée les meilleurs...
J’ignore quel est le niveau d’étude de ceux qui répondent et leur expérience mais comment puis je mettre mon expérience en accord avec ce message ? Comment quand à chaque palier de l’enseignement je vois encore les vieux démons de la méritocratie bonapartiste dire seul les meilleurs passent.
Pour celui qui n’a pas une famille capable d’aligner la richesse qu’elle soit matérielle ou culturel les études et en particuliers les études supérieurs sont quoi ? C’est objectivement une course d’obstacle qui punit tout décrochage. Il y a des élèves qui après un redoublement se sont remis au travail et se sont relevés plus forts et plus motivés mais qui oserait dire que c’est plus qu’une infime minorité. A l’inverse combien de fils de familles très aisées pensez vous qu’il y aura dans l’apprentissage dont les mérites nous sont tant vantés.
Or l’éducation ne forme pas seulement une main d’œuvre corvéable par l’industrie mais aussi voir surtout des citoyens avec un droit de vote.
Pouvons nous nous réjouir quand nous constatons que le taux d’une classe d’age au bacs n’ont quasiment pas évolué depuis la fin des années 80 en particulier celui des bacs généraux, dont la faiblesse est masqué par l’ajout des taux des bacs professionnels.
Est ce qu’il faut croire comme les pédangogues qui conseil les ministres (de l’éducation et plus de l’instruction) qu’un seul modèle sera la clefs magique qui permets à tous d’ouvrir la porte du savoir ?
Mais est ce que chacun ne voit-il pas que ce qu’il veut voir ? Chaque pédangogue voit les réussites de son modèle et celui qui le suit les échecs de ce même modèle mais parce que ses clefs d’évaluations ne sont pas les mêmes.
Ne faisons nous pas pareil ?
Puisque nous n’admettons pas la validité des tests de l’éducation national (qui se juge ainsi elle même) sur quelles études, quels faits se baser pour affirmer que la situation évolue dans un sens ou dans l’autre ?
A choisir entre le CAP zonzon et un diplôme de polytechnique qui hésiterait ? Pourtant il y a une désespérance qui crée une vision de l’inutilité de l’instruction. N’est ce pas là le vrai problème ?
Est ce que qu’il ne faut par rappeler aussi qu’éduquer, ce n’est pas remplir un seau
mais allumer un feu (Yeats) d’une part et d’autre part qu’on
prépare la démocratie de demain par la
démocratie à l’école. Un régime
autoritaire à l’école ne saurait être
formateur de citoyens et de démocrates (Freinet).