bonjour dugué
toujours intéressant tes articles dommage qu’ils ne s’invitent pas au JT.
je vais répondre par une analogie. Le pendule doit son mouvement à l’attracteur qui le maintien dans sa posture. Le pendule peut imaginer l’existence de cet attracteur est comprendre que c’est de lui dont dépend son existence, mais ignorant sa consistance et ce qu’il est il se contentera de l’imaginer, il le définira peut être avec ce qu’il peut inventer comme perspective de ce qui est au dessus de lui et à quoi il crois comprendre à qui il doit son mouvement. Mais il ne sera jamais l’attracteur et toutes ses réflexions seront des éléments, justement d’attraction, c’est son interrogation qui l’agite. peut-être avec pourra t’-l réduire ou augmenter son oscillation, mais le jour ou il deviendra l’attracteur il ne sera plus le pendule. ainsi courir après une finalité est changer d’état ou se suicider si on l’atteint.
Son utilité n’est pas de l’atteindre mais d’être un attracteur. C’est ce que je qualifie la conquête de l’incertitude. Monod l’avais qualifié de hasard, aujourd’hui nous savons que e n’est pas du hasard, mais nous ne sommes pas plus avancé sur la connaissance de cet attracteur. si ce n’est que grâce à lui nous nous interrogeons toujours, avons atteint d’infiniment petit dont la problématique est moins les dangers que représentent l’atteinte de ce seuil, qu’à qui ont en confit l’application. ainsi notre société qui confit la finalité « suicidaire » à des marchands dont le but est d’aller vers une finalité fut-elle comptable comme aujourd’hui, nous sommes assurés d’un désastre car il vont nous dire quel est le nom de l’attracteur.
cordialement.