Vous dites que la constante G n’est pas universelle.
Bien, mais qui ira vérifier ?
Je crois surtout qu’il y a un sérieux manque de modestie dans la science contemporaine, en particulier par son insistance à induire pour ailleurs ce qui existe ici.
Si déjà l’effort était mis sur une formulation logique et compréhensible de ce qui se passe ici, ce serait déjà un grand pas...
Quand je vois écrit que la Relativité fonctionne parfaitement pour décrire le système solaire, voire même notre galaxie... Je ris : le problème à deux corps n’est même pas résoluble en relativité...
Toute l’embrouille vient de la définition de l’éther, définit comme le corps, analogue à l’air, qui serait le support de la lumière.
Or, l’expérience de Michelson a clairement réfuté cette définition, et il ne servait à rien de tenter de la sauvegarder en renonçant au conceptions intuitives du temps et de l’espace.
Il s’agit donc de changer la définition de l’éther.
L’éther n’est pas un corps, c’est un état.
C’est l’état commun à toute matière, de la plus dense à la moins dense, d’être composé d’un réseau de charges électriques (dipôles électriques) et de courants magnétiques (dipôles magnétiques).
Les ondes lumineuses sont analogues aux ondes élastiques, non pas parce l’éther est analogues à un corps solide, mais parce que les charges et courants sont disposées de manière statiques dans la matière.
Les ondes lumineuses transversales sont analogues aux ondes de cisaillement.
Les ondes lumineuses longitudinales sont analogues aux ondes sonores.
Que les vitesses des ondes lumineuses longitudinales et transversales soient identiques implique de considérer que la disposition des charges et courants liés dans la matière aient la propriété d’auxétisme.
Bref :
Ether -> état de polarisation électromagnétique de toute forme de matière.
Charges et courants statiquement liés -> lumière analogue aux ondes élastiques.
Vitesse longitudinale = vitesse transversale -> auxétisme du réseau de charges/courant liés.
Nécessité du neutralité électrique -> correction à vitesse maximale (c) de tout écart à la neutralité.
Chaleur/froid -> diffusion d’une dilatation/contraction du réseau de charge/courant de proche en proche.
Lumière -> propagation spatio-temporelle d’une vibration du réseau de charges/courants.
Spectre d’une substance chimique -> mode propres de résonance du réseau de charges/courants de celle-ci.
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