@ EgaliTED
Votre réponse sur le fond (de mon commentaire) est tout simplement malhonnête.
Pardonnez ce ton irrité mais j’ai vraiment le sentiment d’un grand
n’importe quoi quand vous avez l’audace de mettre entre guillements (en
me les attribuant donc) des propos excessifs que je n’ai pas tenu et qui
vous servent à me tirer dessus à boulets rouges pour me mettre dans le
même sac que vos adversaires sur la question des vaccins :
« la science officielle est à la solde de Big Pharma, tous ceux qui
disent qu’il n’y a pas de lien entre vaccins et autisme sont forcément
des suiveurs ignorants ou des corrompus financés en sous-main par Big
Pharma »
Cette défense malhonnête (j’y insiste) laisse supposer que, pour des raisons que j’ignore, vous êtes à peu près incapable (sic) d’entendre que je critique le fonctionnement non démocratique de la science conséquence de ses modes de financement, ceci ayant pour conséquence la durable main mise de la psychanalyse (une secte) sur la pratique médicale (supposément scientifique).
La problématique du financement se manifeste particulièrement lorsqu’on veut noyer une cause par une avalanche d’études qui ne montrent rien, à partir desquelles on ne peut donc RIEN dire, mais qui, au travers d’un raisonnement dévoyé servi au grand public et aux politiciens, on fait dire que tout va bien madame la marquise, ceci ou cela n’est pas en cause alors qu’on en a factuellement aucune preuve.
J’ai ainsi évoqué à votre sujet une erreur d’analyse concernant la façon dont vous écartez prématurément (car sans aucune preuve VALABLE) l’hypothèse d’un lien vaccin et autisme CAR VOUS NE POUVEZ ME CITER UNE SEULE ETUDE QUI FASSE LA PREUVE DE L’ABSENCE DE LIEN. Vous n’avez à citer que des études qui constatent qu’elles n’ont pas observé de lien. Mais l’absence de faits positifs (observables) peut venir de la façon dont l’étude est conçue. C’est pourquoi il y a une énorme différence entre ces deux conclusions. Si vous ne comprenez pas ça, c’est que vous n’avez pas eu de formation à la logique scientifque et que malgré votre bonne volonté vous ne faites que brasser des mots sans savoir ce que vous faites et dites.