Pour trouver quelque chose, encore faut-il regarder la réalité telle qu’elle est et non telle qu’on voudrait qu’elle soit...
Comment expliquez-vous ceci, avec les conceptions actuelles ?
Comment se fait-il qu’un tel phénomène, qui semble pourtant assez simple, n’ait jamais pu être découvert par la théorie quantique dans sa formulation actuelle ?
C’est que la quantique a totalement oubliée de « définir » les concepts qu’elle employait, ce qui fait que personne ne sait interpréter les relations. Elle est en fait une théorie basée sur une succession d’analogies purement formelles (sur les équations), découverte au pifomètre, et réglée soigneusement pour arriver au bon résultat...
Ils savaient déjà à quoi il devait arriver, et ils y sont arrivés, mais par des chemins détournés.
La quantique ne vient pas vraiment d’une réflexions sur les choses, par l’intelligence, mais d’une ingénierie sur la forme des symboles mathématiques, en les aménageant afin de parvenir au bon résultat.
Du coup, personne ne comprends le sens physique des symboles mathématiques utilisés...
Ainsi, toutes les découvertes sont d’abord empiriques, elles se font par l’expérimentation, puis la théorie les justifie à postériori en les intégrant à l’aide de concepts flous et nébuleux construits pour l’occasion...
C’est évidemment à l’envers de toute démarche scientifique, qui se doit de poser des hypothèses pour les vérifier. Si on modifie le modèle à mesure que de nouveaux phénomènes sont découverts, et la quantique est assez souple pour cela étant donné le niveau de généralité de son outillage mathématique, on ne peut pas dire qu’on vérifie le modèle... On le sophistique, et on le rend incompréhensible.
Quant à l’histoire de l’expérience d’Aspect, elle ne fut réalisée que pour le « photon ».
Or pour moi, la lumière est purement une onde et sa polarisation est donnée au départ :
C’est le plan de variation des champ électriques et magnétiques de l’onde, liée à la réorientation successive de proche en proche des dipôles de la matière du milieu suite à la perturbation lumineuse initiale. Donc c’est évident que celle-ci ne va pas changer, puisque toute perturbation des dipôles alentours est liée au mouvement du dipôle du départ.
Bref, l’expérience d’Aspect montre justement que l’on ne doit pas voir la lumière émise par la source comme deux objets (deux photons), mais comme un seul objet (une onde). Ce n’est rien d’autre qu’une réfutation de la dualité onde-corpuscule pour la lumière : la lumière est une onde.