Quand on cherche un peu on apprend que cette loi débile qui devrait ABSOLUMENT PASSER comme une urgence provient comme par hasard de l’Union Européenne, qui on ne peut pas dire soit spécialement démocratique : Il faut donc toujours REFLECHIR à ce qu’il se cache derrière certaines lois surtout lorsqu’elles apparaissent inutiles ! En fait cette mauviette de Hollande et/ou traître comme on voudra, avec sa Taubira fanatique, ne fait qu’appliquer ce que lui demande la commission européenne, instance supranationale, non élue et comme chacun sait particulièrement démocratique et de surcroît chapeautée par Washington. En avant le nouvel ordre mondial que ce soit économique ou social... L’Europe est là pour vous baiser tous, tôt ou tard. La seule solution : déloger tous ces dangereux individus de la commission européenne, la Troïka etc, tous ces gens qu’on paye avec nos impôts, et qui ne servent qu’à asservir les pays d’Europe dont la France. Le travail de sape sur la France est particulièrement important pour eux...
"
20/02/2013
Mariage homosexuel : la procréation médicalement assistée et les mères porteuses s’imposeront de facto via le droit européen
C’est ce qu’expliquent dans une tribune Anna Zaborska, députée
slovaque au Parlement européen, présidente de l’intergroupe « Famille,
droits de l’enfant et justice entre les générations » et Grégor
Puppinck, docteur en droit, expert auprès du Conseil de l’Europe. Selon
eux, le vote du mariage pour tous en France entraînera automatiquement
l’adoption de la PMA, conformément aux juridictions européennes. En
effet, ils rappellent que
« deux décideurs clés sont totalement omis du débat français » : la CEDH et l’Union européenne.
"Le premier est la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), organe
du Conseil de l’Europe rassemblant 47 États. Elle veille au respect de
la Convention européenne des droits de l’homme. La Cour a créé un
droit à la non-discrimination fondée sur l’orientation sexuelle
en vertu duquel il faut un motif particulièrement grave pour justifier
une différence de traitement entre un couple de même sexe et un couple
de sexe opposé. Sur ce point,
la Cour ne laisse guère de marge d’appréciation aux États. Le second acteur est l’Union européenne regroupant 27 États.
Sa Charte des droits fondamentaux a déjà renoncé à l’altérité sexuelle tant dans la définition du mariage que dans celle des droits de l’enfant, qui sont rangées au chapitre « Égalité », sans mention du père ou de la mère.
Le terrain est préparé de longue date.
La Commission européenne, qui exerce le pouvoir exécutif, déclare
vouloir faire disparaître toute discrimination à l’encontre des
homosexuels, c’est-à-dire en fait toute distinction entre les personnes
et entre les couples. Elle a déjà mis en place un important
arsenal d’instruments politiques et juridiques à cette fin".(...)
Il faut donc restituer la loi française dans son contexte juridique européen.
Pour la CEDH, le législateur ne doit pas rester au milieu du gué. S’il
choisit d’autoriser le mariage homosexuel, tout doit suivre au nom d’une
exigence de cohérence interne du droit national. Ainsi,
si le
gouvernement n’a pas l’audace politique d’aller au bout de ses réformes
de société, il peut espérer que la Cour européenne le fera pour lui.
Nous comprenons maintenant l’insistance des promoteurs de cette loi
pour le « mariage » et non pour une « union civile ». Le « mariage »
permet automatiquement de
bénéficier de l’arsenal juridique européen pour imposer « de l’extérieur » la révolution sociétale recherchée. Il est ainsi vain de souhaiter le mariage sans la PMA, ou avec la PMA mais sans la GPA
.
C’est tout ou rien : qui dit mariage dit adoption, PMA et peut-être
aussi GPA, car la finalité du mariage est la fondation d’une famille,
il en est le cadre institutionnel. (...) "Il semble certain qu’ils
n’ont pas tous compris que, par le simple vote de l’article 1, le samedi
2 février 2013, si
cette loi devait être promulguée, le « mariage
pour tous » inclurait de facto l’adoption, la PMA et ouvrirait la voie
aux mères porteuses." concluent-ils.