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Commentaire de soi même

sur Fascination pour l'androïde


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soi même 7 avril 2013 14:33

Le rêve de l’homme est entacher par sa vision anthropomorphique avec ce mythe de la création de son double qui est bien illustre par cette légende juive sur le Golem,

« le golem (גולם) (parfois prononcé goilem en yiddish), signifiant « cocon », mais peut aussi vouloir dire « fou » ou « stupide », est un être humanoïde, artificiel, fait d’argile, animé momentanément de vie par l’inscription EMET sur son front (ou sa bouche, selon les versions).  »

http://fr.wikipedia.org/wiki/Golem

cela à été sans doute ce qui à poussé des hommes à faire des automates« 

 ( Dès l’origine, l’homme semble avoir cherché à reproduire l’apparence et le mouvement des êtres de son milieu vital. Animer le monde qui l’entoure pour s’en rendre maître va être une des premières recherches d’une humanité qui attribuait aux images et à la parole une force magique. Dans l’univers du primitif où tout a une âme et où l’outil ne peut s’animer et agir qu’avec la permission d’une puissance surnaturelle, l’action devient une participation à la vie cosmique par un jeu de symboles et de signes : le masque, animé ou non, sera pour le sorcier l’expression même d’une nouvelle personnalité qu’il endosse. « L’être humain, semblable parodiquement au dieu de la Genèse, n’a-t-il pas créé l’automate à son image... Pour se reconnaître en lui ! ») »

http://www.universalis.fr/encyclopedie/automate/

Ce mythe récurant dans l’histoire de l’humanité, dont peut en trouvé la trace dans l’Illiade d’Homère à travers le Dieux d’or Héphaïstos,

«  Dieu grec qu’on a assimilé au Vulcain des Latins. - Héphaïstos
Dieu grec qu’on a assimilé au Vulcain des Latins. Sous sa forme la plus ancienne, dans les poèmes homériques, Héphaistos est dans la société divine l’artisan, le dieu des arts, du feu et du métal, plus particulièrement un forgeron. Il habite dans l’Olympe et y a son atelier ; les auteurs postérieurs placeront cet atelier au dehors, généralement dans une île volcanique (en particulier dans les îles Lipari ou sous l’Etna). Conformément à la confusion primitive entre la science et la magie, Héphaistos est représenté comme un magicien : ses outils travaillent tout seuls. Le dieu n’a pas encore de compagnons dans son atelier. Plus tard on lui en donnera un, puis trois, puis un grand nombre. 
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Sa physionomie est celle d’un rude travailleur, aux bras vigoureux, mais aux jambes faibles. Il était même boiteux de naissance (ou après sa chute du ciel). Sur les monuments archaïques, Héphaistos est figuré sous les traits d’un ouvrier adulte, barbu, fortement musclé ; ses attributs caractéristiques sont un bonnet pointu, un marteau, une tenaille ; donc semblables à ceux des nains forgerons des mythologies du Nord de l’Europe. Il porte soit la chlamyde rejetée sur l’épaule, soit le maillot court, soit l’exomis, de manière à avoir le bras dégagé, quelquefois il est représenté nu. 

Naturellement l’artisan divin surpasse en habileté ses collègues terrestres ; il travaille aussi bien les métaux précieux que les autres, est ciseleur et orfèvre autant que forgeron. Parmi les oeuvres qu’on lui attribuait, les principales étaient : l’aménagement des palais des dieux (revêtus de lames métalliques comme ceux des princes de l’époque homérique ; les trépieds, les statues et les chiens magiques du palais d’Alcinoüs, le bouclier et les armes d’Achille (Bouclier), d’Héraclès, celles d’Énée, etc. Les mythographes en grossirent la liste indéfiniment : on y ajoute l’égide, le sceptre de Zeus, celui d’Agamemnon, l’épée magique de Pélée, le gobelet de Dionysos, les flèches d’Apollon et d’Artémis, le collier d’Harmonia, le diadème d’Ariane, le collier d’Hermione etc. Un autre produit de l’art d’Héphaistos est Pandore qu’il fabriqua pour le malheur du genre humain.
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Héphaistos est, d’après Homère, fils d’Héra et de Zeus, mais très éloigné de son père ; dans les conflits, il prend parti pour sa mère contre lui. Hésiode en fait un fils d’Héra seule, sorte de produit artificiel qui fait la contre-partie d’Athéna. Les mythographes ultérieurs adoptèrent cette version. L’antagonisme entre Héphaistos et le dieu suprême se manifeste dans le mythe de son expulsion du ciel ou de sa chute. Il y en a deux versions dans l’Iliade. »

http://www.cosmovisions.com/$Hephaistos.htm

montre en réalité comment l’homme dans son inconscient prescient que dans un futur lointain, il va devenir quo-créateur, et en réalité comme il n’a pas la clé pour connaître son avenir et veux précipité les choses. Il vit la tentation de réalisé que sa propre projection anthropomorphique de l’idée qui le tenaille dans son inconscient.

Si l’on voie le champs de recherche informatique, rien ne dit que nous allons vers des automate humanoïde, mais plus tôt vers des ersatz de la pensé et de la physiologie humaine , 

« ordinateur quantique ;

ordinateur à ADN ;

ordinateur optique ;

ordinateur neuronal. »

Rien dans cette recherche indique qu’il aura une projection anthropomorphique de l’image de l’homme, par contre on peut pressentir par la nature de ses recherches, que nous allons un jour à être confronté à un double mécanique qui pourrait bien nous dominez par l’utilisation du codage mathématique de la pensé, sentiment, volonté . Ce qui est en trains de se faire à notre insu par l’exploitation des bandes de données que fournie l’utilisation d’internet qui seront transmis à de futur processeur qui auront la capacité d’intégré et de géré l’irrationalité du vivant.






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