Article qui entreprend une vision didactique sur les
phénomènes exponentiels que nous subissons et dont nous savons tous, plus ou
moins inconsciemment, qu’ils nous aspirent irrémédiablement vers le bas.
Il tranche sur la scolastique prétentieuse
et affectée d’articles traitant du même sujet et qui ne font que projeter des
bulles en puisant dans le savon liquide frelaté
des lieux communs et des formules toutes faites en la matière.
Il expose, en ayant l’élégance de ne pas citer leur auteur, les théories de John Maynard KEYNES, prophète de l’État providence et du coup de pied en touche footballistique en
termes de solutions économiques...
J’aime bien le principe de compartimentation
hermétique que j’interprète comme un protectionnisme
intelligent...
Si cela n’est évidemment pas la meilleure des solutions dans une économie normale (ne surtout pas
confondre avec une présidence normale)
il me semble que nous n’avons aujourd’hui pas le choix...
Mais comment ignorer la réaction publiée ci-dessus : « ...Et
personne pour parler de l’immobilier hors de prix qui grève facilement 5 à 10%
de pouvoir d’achat, pour le plaisir d’une poignée de multipropriétaires ?... », qui rejoint tout à fait, dans l’esprit, la
carence mentale du prélèvement à 75% ?
C’est notre handicap d’une entité gauchouillarde(*)
devenue politiquement majoritaire grâce à un système représentatif totalement obsolète.
(*) Le gauchouillard est un mutant du franchouillard.
Il en reprend l’insuffisance mentale, l’étroitesse intellectuelle, l’esprit
borné et la haine du juif.
Il y ajoute la frustration, l’envie, la jalousie, la rancœur et l’amertume
vis-à-vis d’une aisance qu’il aimerait bien posséder mais qu’il est totalement
incapable d’acquérir par lui-même dès lors que l’appropriation de cette aisance
exige inventivité, créativité et productivité personnelles.
Néanmoins, il se considère comme un aryen de la pensée de gauche, un
dispensateur de vérités définitives et absolues jamais démontrées, un grand
ordonnateur de leçons de morale et de vertu seulement applicables aux autres.
Par son nihilisme et son négativisme, le gauchouillard suscite le totalitarisme
sous toutes ses formes en favorisant, notamment, les desseins les plus
conquérants du capitalisme.