Ce que je déplore dans cette affaire, c’est que le peuple n’a plus le privilège d’être consulté, et qu’avons vue en réalité que tous les débats médiatiques étaient tous orientés vers la même cause et pour que cela ne paraissent pas trop évident. Différentes personnes qui s’opposaient ont étés invités non pas par que leurs offraient une tribunes pour donner leurs points de vues, ils étaient invités juste pour un faire valoir de pseudo débats où ils étaient littéralement lyncher sous un flots de clicher les plus malveillants. En aucuns j’ai vue un débat où il aurait eu une volonté de dialogue, qui aurait peu évolue sur des solutions à l’amiable.
J’ai vue d’un coté une hystérisation de son droit comme étant un droit des plus naturel, et de l’autre une caviardisation par des ultras et des intégristes de cette oppositions.
Ce qui a tous simplement permis en réalité ne pas de tenir compte qu’il pouvait avoir des gens tous à faits modérer et qui on en même temps pouvaient avoir le soucis d’équité et avoir des propositions alternatives
je que je retiens de ces événements, ce ceux qui s’opposaient qui on été mis à la marge de ce débat qui était déjà fait avant même que cette loi soit voté, on été beaucoup plus nombre que l’on voudrait nous faire entendre, et qu’il a alimente une défiance et colère vis à vis du pouvoir qui n’a pas voulue qu’il est un véritable débat de société.
Il y a un fait qui est nouveau, nous avons plus le droit d’avoir un avis qui s’oppose à un changement majeur de nos références culturels, que la loi se substitue à des valeurs culturelles séculaires.
Jusqu’à présent, je n’es pas mémoire d’une loi qui viole à se point sa mission qui est de respecter l’intérêt général de sa population.
Ce que j’en dis, cette loi est un forcir inacceptable d’un pays qui se prêtent démocratique, en cela elle ne peut en aucun cas être mis sur le même plans de l’abolition de l’esclavage et la peine de mort. Et elle est bien préfiguratrice du forcis qui nous attends en 2015.
Vous avez beau essayer de rabibocher et de faire le constat qui bien une radicalisation qui c’est exprimer, et quel cela va sans doute être un ferment dévastateur dans un avenir proche.