Commentaire de ffi
sur Etienne Chouard, Don Quichotte des temps modernes -I
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Comme disait Boileau (sermon sur l’ambition) :
La félicité demande de pouvoir ce qu’on veut et de vouloir ce qu’on doit.
Donc VOULOIR écrire les règles ne réussit que si l’on a le POUVOIR de le faire...
J’en vois beaucoup qui voudraient écrire de nouvelles règles, mais qui ne le peuvent pas.
Mais, au final, c’est toujours celui qui a le pouvoir de le faire qui le fait.
Le vouloir ne suffit pas.
La seule solution pour avoir un POUVOIR qui se limite de lui-même, c’est que ce POUVOIR soit assuré de son maintien : c’est donc le fait du prince.
Derniers commentaires
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27/12 15:38 - Danfernbanck
Une perte de temps. Un quart d’heure en pure perte à lire du vide caché sous un vernis de (...)
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14/09 13:47 - InternetDev
Les gents ne sont pas ignorants, ils sont ingorisés. 2002 a montrer qu’avec des Fake (...)
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14/09 13:24 - InternetDev
Merci pour votre super travail... continuez, vous êtes plus qu’indispensable (...)
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16/07 12:04 - RiGeL
Mais Proust EST le pire des écrivains. Tout ce que j’ai pu lire de ce texte me fait (...)
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08/07 23:33 - citoyen
Donc s’attaquer à « l’idole » serait être complice du « grand complot » ? (...)
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08/07 23:23 - citoyen
et bien moi je trouve les propos de l’article tout à fait lumineux, et ne suis absolument (...)
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