La gôche, telle un Tchernobyl politique, s’enfonce inexorablement dans un margouillat gouvernemental
tel qu’il est impossible de trouver l’équivalent dans les annales politiques
planétaires…
Face à ce cloaque socialiste (veuillez pardonner le pléonasme) le ban et l’arrière
ban des missi-dominici de la gôche ne trouvent rien de mieux que de se réfugier
dans un exorcisme ANTI –SARKOZISTE
qui donne dans la bouffonnerie…
La sottise socialiste (encore pardon pour le pléonasme) demeure dans cette
démarche plus que jamais incommensurable…
En effet, fustiger Nicolas SARKOZY et
l’UMP pourquoi pas, mais alors :
— - Qu’en est-il des turpitudes, du gangstérisme et des forfaitures des fédérations
du PS qui ont de sérieux comptes à rendre à la justice ?
— - Qu’en est-il des affaires URBA-GRACO, SAGÉS et autres qui illustrent l’un
des versants les plus fameux du racket national et industriel des marchés publics
de l’État et des marchés publics des collectivités locales au profit des
caisses du PS ?
— - Qu’en est-il de cette immonde immoralité consistant à détrousser ceux qui
sont les plus démunis d’entre nous alors que ce sont ceux qui doivent être le plus aidés, soit les étudiants
qui furent impitoyablement dépouillés dans cette répugnante affaire qui fut
celle de la MNEF…
— - Etc.
Comment ne pas faire apparaître Nicolas SARKOZY
comme un saint et les militants de l’UMP comme des anges face aux innombrables brigandages,
rapines et autres exploits de fripouillerie qui appartiennent en titre au PS et
que nul ne peut ignorer…
Mais il y a encore plus cocasse !
Parler de Sarkothon pour évoquer le
renflouement de l’UMP c’est effectivement amusant, mais hélas, ajouter le Nanarthon pour évoquer les ennuis de Bernard TAPIE c’est retomber dans les affres de la connerie
socialiste pure sucre (encore pardon pour le pléonasme).
En effet, personne ne peut oublier que Bernard
TAPIE fut l’astre du pouvoir socialiste mitterrandien...
Outre ministre dans le gouvernement socialiste
de Pierre BEREGOVOY, il fut l’un des conseillers sous-jacents les
plus influents de François MITTERRAND.
C’est dans ce contexte que les cent cinquante milliards de dette du Crédit
Lyonnais, transformés par le pouvoir socialiste en cent cinquante milliards de
dette du contribuable français, sont et
demeurent bien accrochés en bandoulière du PS, à travers « l’affaire »
Bernard TAPIE ….
Donc, au Sarkothon et au Nanarthon, ajoutons le Sociathon pour éponger les insondables
dettes du PS depuis 1981, sans omettre celles que l’ancêtre du PS, le parti
socialiste SFIO, a fait subir à la France en un temps record, de 1956 à 1957,
soit l’invasion de l’Egypte, la relance drastique de la guerre d’Algérie, la
bataille d’Alger, etc. etc.