@ epicure , il y a une chose qui échappe dans ton raisonnement, c’est l’intention !
Ce n’est pas part facilité que la gnose parle de la Puissance, de la Force et de la Sagesse, car il y ont bien perçus que la création qui est bien synonyme de l’évolution , car il y a bien une fécondation à un moment où un autre a été faite avec une intention .
Car se que vous décrive n’est rien d’autre que la le résultat de la causse et en aucun moment le motif. !
Je l’ai déjà dit , je suis pas opposé à l’idée de l’évolution, par contre je ne crois pas au hasard, surtout quand il sert de masque à la faiblesse de l’esprit.
Car il serrait bien plus judicieux que les scientifique dise, qu’ils ne savez rien que d’eméttre hypothèse sur hypothèse qui mon aucune cohérence, puisque tous où tard elle seront démonter..
Bugué est un bon exemple , il n’arrête pas de réinventé le monde, c’est bien le signe que les hypothèse sont bancals
Voici sans doute l’étude la plus minutieuse et la plus complète réalisée
à ce jour sur une théorie de l’Évolution, qui fut exposée pour la
première fois au début du XXe siècle par le biologiste hollandais Louis
Bolk. Celle-ci repose sur l’idée que la forme humaine n’apparaît pas à
la fin de l’évolution animale, comme on a coutume de le penser, mais au
début. On sait qu’un fœtus de chimpanzé ressemble de façon saisissante à
un bébé humain : crâne arrondi, visage plat, chevelure limitée
au-dessus de la tête, trou occipital sous le crâne, etc. Lorsqu’il se
développe, le chimpanzé diverge de sa forme humaine originelle et prend
des traits de plus en plus simiesques.
En comparant de nombreux organes, Verhulst montre que, à la différence
des autres primates, l’homme conserve toute sa vie sa forme juvénile.
Renversant l’habituelle vision darwinienne de l’Évolution, il conclut
que l’homme ne descend pas du singe, mais que le singe se développe en
s’écartant d’un prototype humain.
Verhulst complète l’idée de Bolk en montrant que la tendance de l’homme à
conserver sa forme fœtale (fœtalisation ou retardement) est complétée
par la tendance inverse au sur-développement de certains organes
(hypermorphose), - notamment des jambes, du larynx et du cerveau
antérieur - grâce auxquels l’homme atteint ses capacités spécifiquement
humaines : station érigée, langage, pensée.
Dans un dernier chapitre, Verhulst esquisse une vue d’ensemble où le
prototype humain apparaît comme le véritable tronc de l’arbre de
l’Évolution, la source agissante dont le règne animal est issu.
Cette étude fondamentale parvient à se situer au-delà de la vieille
querelle entre darwinistes et créationnistes. L’auteur ne cherche pas à
savoir si l’instance qui a créé les formes animales est la sélection
naturelle ou Dieu. Il veut d’abord nourrir l’observation et susciter la
réflexion du lecteur.
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