@ L’enfoiré,
"Mais cela devra passer par un bouleversement de la journée du travailleur.
8 heures pour dormir, 2 heures pour se nourrir, 2 heures pour le
plaisir, 4 heures pur l’éducation permanente, 2 heures de pour les
enfants, 2 heures de réflexions pure, 4 heures de travail productif. "
Il y a de l’idée.
Je vous propose ces quelques aménagements :
- 8 heures pour dormir (ou 7 ou 9 selon les besoins de chacun, d’une traite ou fragmenté : nuit + sieste)
- 2 heures pour se nourrir (manger attablé de préférence avec d’autres convives)
- 4 heures de travail productif (contribution aux besoins de la collectivité 5 j/sem)- 2 heures pour l’éducation permanente (ça représente 42H/mois 5j/sem)
- 2 heures pour ses
enfants, ses parents, ses proches (liens sociaux, communication, anti isolement, anti jeux vidéos solitaires qui bouffent tout le temps libre, ...)
- 3 heures de temps libre, sans aucun objectif assigné (ce qui
n’empêche pas de les consacrer par exemple à un projet qui nous tient à
coeur)- 1 heure de réflexion pure (philosophie, spiritualité, prise de recul, projection de soi dans le futur, ... 5j/sem)- 2 heures liées aux contraintes domestiques (ménage, lessive, courses, transport, ...)
Sachant que, bien évidemment, rien n’empêche que le temps consacré à ses
enfants, ses parents, ses proches soit en même temps du temps de loisirs (promenades, tourisme, jeux de société, ...)
Et tout cela en faisant bien sûr primer l’esprit sur la règle,
car il n’y aurait rien de pire que d’instaurer un totalitarisme du « comment bien vivre »
alors que l’objectif vise simplement à proposer une bonne « hygiène » de vie (mentale, physique et relationnel) .
N’est-ce pas ?