Bonjour,
j’ai laisser passer un peu de temps. Pour mettre un peu de distance.
Mais avec l’intention d’y revenir.
me voila donc, j’ai un peu perdu le fil ...
Je ne vais pas répondre au point par point, il me semble avoir compris les garndes lignes de votre argumentation, je vais tenter une réponse d’ensemble
je voudrais dans un premier temps, simplement reprendre les quelques points qui me semblent relever de la mé-compréhension.
Vous dites :
Oui, c’est exactement cela. Je vois la similitude et l’altérité, vous ne voulez voir que cette dernière.
Seulement le reproche que je vous fais, celui pour lequel je discute est exactement l’inverse : vous ne voulez voir que la similitude, vous refuser de voir l’altérité.
j’apprends ici que vous la voyez très bien. Dont acte.
Remarquez que je n’ai pas remis en cause ni le mimétisme, ni la similitude, seulement je dis que l’on ne peut penser l’un et l’autre sans penser l’altérité et j’ai l’impression que vous ne le faites pas, que vous voulez tout ramener au semblable.
vous dites :
Vous vous contentez de marteler votre croyance en un « en soi » irréductible de l’altérité.
Sauf que je n’ai jamais rien prétendu de tel. c’est le moi qui défini l’altérité, pour ce qui est du soi, il se trouve que je pense aller beaucoup plus loin que vous puisque je crois, moi, en la continuité de l’esprit et en l’unicité de celui-ci.
je ne crois pas que le cerveau soit le siège de la pensée, je crois que le cerveau est une interface entre le moi individuel et l’esprit commun, unique pour l’ensemble de l’humanité et au final, unique pour l’ensemble de l’univers.
Enfin le « :il n’y a pas de différence » vous l’avez écrit là :
Moi je dis "il n’y a
pas de différences" lors même que certaines sont manifestes (tous les
phénotypes corporels) et c’est cela qui rassure : au-delà de nos
différences de surface, nous sommes semblables. De belles chansons le
disent très bien. 17 sept 05.38
Voilà pour ce que je voulais clarifier. je reviens avec la réponse globale.
(...)