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Commentaire de Hervé Hum

sur Le cas de ces jeunes esclaves sexuelles du Burundi


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Hervé Hum Hervé Hum 6 octobre 2013 14:17

Abdalaye, il y a trois niveau de prostituton selon moi.

Le 1er niveau est la prostitution forcée, aussi appelé esclavage sexuel. Faisant de tout client un complice du proxénète esclavagiste, mais aussi un violeur sur personne « pré-contrainte ».

Le 2ème niveau est la prostitution dites économiques. Soit les personnes qui se prostituent pour nourrir leur famille. Cette prostitution ne peut tendre à disparaître qu’en fonction de l’évolution sociale et économique.

Enfin, le dernier niveau est la prostitution dites épicurienne. Il existe des personnes qui aiment tout simplement le fait de se prostituer. Cette prostitution représente l’extrême minorité, mais dans un pays démocratique n’a pas lieu d’être interdite, car cela tient du droit de chacun à disposer de son corps librement (alors que les deux autres cas sont soumis à une contrainte).

Donc, dans une société humaine fondé sur les droits de chacun, le 1er niveau doit être combattu par les armes et condamné durement. Autant le proxénète que le client. Le 2ème niveau dépendant de la conjoncture économique, celui doit être combattu par l’amélioration des conditions sociales et économiques, mais en aucune manière par la force. Cette prostitution doit donc être légalisée. Tout comme la dernière, qui elle est réductible seulement par la volonté des prostitué(e)s.


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