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Commentaire de soi même

sur Fractures dans la fracturation


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soi même 15 octobre 2013 02:25

@ Kxyz, bien sur que j’ai lue l’article, que c’est gaz qui pressente un inconvénient par rapport à un gaz conventionnelle. du carbone et du méthane.

Je n’es jamais dit que ce gaz ne pressentait pas de risque, le risque se situe plus dans son extraction, et moins dans son utilisation, il est évident qu’il faudrait faire des recherche pour atténuer sa nocivité pour l’environnement.

En ce qui concerne le méthane, c’est gaz qui est très présent dans la nature, et il a toujours existé.
 Ce qui est nouveaux aujourd’hui,c’est que l’on a la possibilité d’exploité des couches fossiles et qui dans certaine région du globe en autre en Arctique où un Sibérie, il y a de plus en plus déchaper de se gaz dans l’atmosphère.

 

Importante fuite de méthane de l’océan Arctique dans l’atmosphère

http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/03/04/importante-fuite-de-methane-de-l-ocean-arctique-dans-l-atmosphere_1314668_3244.html

http://www.slate.fr/story/48317/methane-climat

« Les risques encourus.

 Les risques de dégradation du climat par les hydrates de méthane sont énormes, et ces risques ne sont pas liés à leur utilisation mais à leur exploitation. En effet, le méthane est un gaz a effet de serre 20 fois plus ‘performant’ que le dioxyde de carbone (CO2). Le danger ne vient pas de sa combustion mais de la libération de méthane « tel quel » dans l’atmosphère. Il faut aussi savoir que 95% du méthane de la planète est stocké dans les sédiments, en fait on peut dire que, d’une manière générale, le méthane est présent en (très) grande majorité sous forme d’hydrates (le méthane est contenu, prisonnier dans de la glace). Et la glace qui le contient peut fondre... Résumons-nous : le méthane est un gaz à effet de serre, qui nuit à la couche d’ozone et contribue donc au réchauffement de la planète si il est libéré.
Un accident sur un site d’exploitation, libérant du méthane, affaiblirait la couche d’ozone localement, donc, à terme, réchaufferait le climat localement (dans le meilleur des cas), ce qui réchaufferait aussi l’eau de l’océan concerné (ceci est valable aussi bien pour les sites « off-shore » que les sites « continentaux » : ces derniers, en milieu arctique, sont toujours proches des océans), faisant fondre la glace des hydrates de méthane placés le plus près de la surface et libérant le méthane qui, libre, remonterait en surface puis dans l’atmosphère, affaiblissant la couche d’ozone et réchauffant encore le climat, ce qui aurait pour effet de faire fondre la couche d’hydrates suivante, et ainsi de suite... Le cercle vicieux ainsi engagé aurait des conséquences apocalyptiques... Cette hypothèse n’a rien du scénario de film catastrophe « 2012 », elle est parfaitement (et malheureusement) réaliste et probable : il y a 55 millions d’années, à la fin du Paléocène, les hydrates de méthane auraient provoqués une augmentation de 5 à 7 degrés Celsius (cela a été prouvé avec l’analyse de microorganismes fossiles). Mais il y a bien plus grave : Il est plus que probable que les hydrates de méthane soient parmi les responsables de la crise Crétacé-Terciaire (crise K-T). Une augmentation de température, due à l’action combinée de la chute d’une météorite et d’une activité volcanique intense, aurait déclenché le « cercle vicieux » des hydrates de méthane... Il est sans rappeler que la crise K-T a vu de grands bouleversements dans le monde vivant, avec notamment la disparition des dinosaures... Les hydrates de méthane seraient donc dangereux, même si on ne les exploite pas... »

http://tpehydratedemethane.e-monsite.com/pages/iii-exploitation-et-risques-qui-y-sont-lies.html

Les risques sont en réalités un peut plus élever que l’utilisation du pétrole, du fait que le gaz natif est un danger pour la couche d’ozone de l’atmosphère.

Je ne suis pas un spécialiste de la question, j’ai juste mis en évidence, que son exploitation pourrait être moins dévastatrice que le gaz de schiste, si il y a une technique plus sur qui pour l’instant est loin le cas.

Il y pas de doute ma préférence va vers cette découverte de poche de l’hydrogène natif.

Une nouvelle source d’énergie ?

http://www.geosoc.fr/transition-energetique/dossiers-techniques/17-juin-l-hydrogene.html




 


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