@ soi-même
Très d’accord avec votre commentaire.
On peut aussi simplement en prendre connaissance pour essayer de mieux appréhender le contexte historique de la montée du national-socialisme qui s’est bâti sur le terreau des racismes et des nationalismes de la deuxième moitié du XIX°. A l’époque après la défaite de l’Allemagne en 1918, l’esprit est à la revanche, exactement comme il l’était après la défaite française en 1870.
dans tous les cas, il vaut mieux se renseigner à la source, lire Marx plutôt que de se faire une idée du communisme sur la Russie bolchévique de Lénine ou de Staline. Et se faire sa propre idée.
Il me paraît très improbable que l’on pourrait se servir de cet ouvrage comme d’un catéchisme politique, la mentalité de l’époque n’est pas du tout transposable aujourd’hui, le copier -coller infaisable, l’expérience n’étant pas reproductible. Par rapport à « l’antisémitisme » véhiculé dans cet écrit, il est facile de démontrer comme je l’ai fait succinctement qu’il n’a rien d’original puisqu’on le retrouvait de l’autre côté de l’Atlantique, comme dans une bonne partie de l’Europe.
Vouloir mettre l’ouvrage à l’index serait contreproductif. L’interdit ne créerait que des conséquences licencieuses, et donc perverses.
Avis aux amateurs, prenez votre courage à deux mains, c’est une peu long à lire 350 pages (et fort ennuyeux). Comme lecture, sans difficulté, facile de trouver tellement mieux